GENEVA/NEW YORK, 25 September 2014—The Joint United Nations Programme on HIV/AIDS (UNAIDS) has appointed leading fashion designer Victoria Beckham as UNAIDS International Goodwill Ambassador. The announcement was made at a special event held during the 69th United Nations General Assembly in New York.

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Victoria Beckham espère une génération sans sida

03 décembre 2018

Victoria Beckham reste une fervente porte-drapeau des personnes vivant avec le VIH et touchées par le virus, en particulier les femmes et les enfants. Ses priorités : réduire la stigmatisation et la discrimination et faire en sorte que les personnes aient accès aux services de dépistage, de traitement et de prévention. Victoria Beckham a fait part de ses réflexions lors d’un entretien exclusif avec Media Planet à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida.

Pourquoi le soutien à la cause du VIH est si important pour vous, et pourquoi vouliez-vous devenir Ambassadrice itinérante internationale de l’ONUSIDA ?

J’ai toujours été convaincue que les femmes devaient s’entraider. Dans ma vie, j’ai eu beaucoup de chance d’être inspirée et soutenue par des femmes formidables qui ont changé ma vision de la vie et qui m’ont encouragée à croire en moi et en mes capacités.

Travailler avec l’ONUSIDA m’a donné l’opportunité de rencontrer des femmes incroyables vivant avec le VIH, ainsi que les personnes qui les aident : les agents de santé communautaires, les groupes d’entraide par les pairs, les infirmières, les médecins qui consacrent leur vie à aider les personnes vivant avec le VIH. Si je peux apporter ma contribution pour faire changer les choses en utilisant ma voix pour raconter leurs histoires, je ne vais pas hésiter un seul instant : qui ne le ferait pas ?

Quels sont les problèmes que nous rencontrons encore dans la lutte contre le VIH ?

Je ne m’étais pas rendu compte de l’impact immense que le VIH continue d’avoir sur les familles et les communautés, en particulier en Afrique. Environ 37 millions de personnes vivent aujourd’hui avec le VIH dans le monde, le chiffre le plus élevé jamais atteint, et la plupart en Afrique. Vivre avec le VIH n’est pas simple.

Premièrement, il faut connaître son statut et se faire dépister : 9,4 millions de personnes vivant avec le VIH ignorent toujours encore qu’elles ont le virus, et c’est pourquoi l’ONUSIDA a choisi cette année le dépistage comme thème de la campagne de la Journée mondiale de lutte contre le sida.

Deuxièmement, il faut faire face à la stigmatisation, qui reste très répandue dans de nombreuses régions du monde. Est-ce que je dois le dire à ma famille ? Comment protéger mon/ma partenaire ? Et si mon employeur l’apprend ? Est-ce que mes enfants sont touchés ?

Troisièmement, il faut entamer un traitement quotidien que vous devrez prendre à vie… C’est une maladie difficile à gérer aussi bien physiquement que psychologiquement, et des gens continuent d’être infectés à un rythme alarmant.

Comme l’a montré l’ONUSIDA, nous avons encore un long chemin à faire pour en finir avec le sida. L’année dernière, 1,8 million de personnes ont été nouvellement infectées : il est clair qu’il faut en faire beaucoup plus.

Quelles ont été vos expériences les plus bouleversantes en tant qu’Ambassadrice itinérante internationale de l’ONUSIDA ?

Pour moi, ce sont les rencontres avec ces femmes qui se battent chaque jour pour améliorer la vie de leurs enfants. Certaines mettent littéralement leur vie en danger juste pour joindre les deux bouts, pour pouvoir s’assurer que leurs enfants aient de quoi manger, soient en bonne santé et puissent aller à l’école, dans l’espoir d’un avenir meilleur. En tant que mère, je ne peux pas m’empêcher d’être émue par ces démarches.

Quand on a des enfants, la chose la plus importante est de veiller à ce que tout aille bien pour eux : nos enfants passent en premier, systématiquement. J’ai aussi été bouleversée par ces enfants nés avec le VIH, dont les parents sont morts du sida, que j’ai rencontrés lors de mon voyage en Éthiopie avec l’ONUSIDA. C’est une tragédie qui se produit encore dans le monde entier à l’heure actuelle, malgré la disponibilité de médicaments préventifs.

Avez-vous l’espoir qu’un jour nous pourrons vivre dans un monde sans VIH ?

Je suis convaincue qu’il est possible de trouver un vaccin et un remède, et je suis certaine que je serai encore là pour le voir. D’ici là, il y a bien des choses que nous pouvons faire aujourd’hui pour en finir avec l’impact du VIH sur les individus, les familles et les communautés.

Supprimer la stigmatisation permettra aux jeunes d’obtenir les bonnes informations pour savoir comment se protéger et stopper les nouvelles infections. Cela permettra aux personnes qui pensent avoir été exposées à un risque de VIH d’aller se faire dépister et aux personnes vivant avec le VIH de ne pas avoir peur de prendre un traitement et de demander les soins et l’appui dont elles ont besoin. En finir avec le sida, oui, un jour. En finir avec l’impact du VIH… ça nous pouvons le faire dès maintenant.

Première Publication

Press Release

Victoria Beckham et son fils Brooklyn en mission au Kenya avec Born Free Africa et l'ONUSIDA pour la sensibilisation au VIH

En constatant directement sur le terrain les réussites et les défis de la riposte au VIH au Kenya, Victoria et Brooklyn Beckham ont appelé à plus d'engagement, d'action et de financement pour en finir avec l'épidémie de sida.

Nairobi, Kenya, 8 octobre 2016—Victoria Beckham, Ambassadrice itinérante internationale de l'ONUSIDA, et son fils, Brooklyn Beckham, se sont rendus au Kenya dans le cadre d'une mission de trois jours avec Born Free Africa et l'ONUSIDA pour promouvoir la sensibilisation au VIH. Leur visite a porté sur la prévention des nouvelles infections à VIH chez les nouveaux-nés et le maintien de leurs mères en bonne santé, ainsi que sur l'urgence de promouvoir le dépistage, la prévention et le traitement du VIH chez les jeunes, en particulier les adolescentes et les jeunes femmes. 

Au cours de cette mission, Victoria et Brooklyn Beckham ont voyagé à travers tout le pays pour découvrir des projets passionnants qui visent à réduire les effets du VIH au Kenya. Ils ont rencontré des agents de santé et des travailleurs communautaires pour comprendre les problèmes qu'ils rencontrent dans leur travail et en apprendre plus sur leurs nombreuses réussites. Victoria et Brooklyn ont passé du temps avec des enfants et parlé avec des jeunes et des adultes vivant avec le VIH ou touchés par le virus, pour entendre directement leurs histoires personnelles et leurs expériences du VIH.

Aux côtés de sa mère, Brooklyn a pris part à une campagne nationale de football baptisée « Maisha kick out HIV stigma » (Maisha chasse d'un coup de pied la stigmatisation liée au VIH), qui vise à motiver les jeunes à se faire dépister. Les services de dépistage, de prévention et de traitement du VIH sont fondamentaux pour mettre fin à l'épidémie de sida, mais les gens, en particulier les jeunes, n'y ont souvent pas accès en raison du manque d'information et de la stigmatisation et la discrimination liées au VIH. Brooklyn a participé au match de football et montré ses talents sur le terrain.

L'ONUSIDA estime à 1,5 million le nombre de personnes vivant avec le VIH au Kenya, avec environ 71 000 nouvelles infections à VIH chez les adultes en 2015. Un tiers de toutes ces nouvelles infections a concerné des jeunes femmes et des adolescentes âgées de 15 à 24 ans, qui sont particulièrement exposées au risque. Chez les enfants, on a recensé 6 600 nouvelles infections à VIH en 2015. Le gouvernement kenyan s'est engagé pour mettre fin au sida et, en plus du financement de son propre programme national de lutte contre le VIH, il a récemment promis de verser 5 millions de dollars au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme et 500 000 dollars à l'ONUSIDA pour en finir avec le sida comme menace de santé publique d'ici à 2030.

Il y a eu de nombreuses réussites dans la riposte au sida, mais Mme Beckham a profité de l'occasion pour souligner que l'épidémie de sida est très loin d'être terminée. « Nous avons parcouru un si long chemin ensemble pour contrer le sida ; nous avons les connaissances, nous avons les outils, mais nous avons besoin d'engagement, d'action et de financement pour en venir à bout ! La fin du sida est possible, mais seulement si nous restons unis et que nous mettons un terme à toutes les formes de stigmatisation et de discrimination ».

« Avoir le soutien de notre Ambassadrice itinérante internationale est extrêmement important pour le Kenya dans son avancée vers la fin de l'épidémie de sida comme menace de santé publique », a déclaré la Directrice nationale de l'ONUSIDA, Jantine Jacobi.

La mission était organisée par le Ministère kenyan de la Santé, Born Free Africa et l'ONUSIDA.

Born Free Africa

Born Free Africa est une initiative philanthropique privée visant à éliminer la transmission du VIH de la mère à l'enfant. Born Free travaille avec les gouvernements africains pour investir dans des projets très ciblés afin de mettre à l'épreuve l'hypothèse selon laquelle un talent catalytique peut amorcer un changement significatif au sein des systèmes de santé publique. Les investissements de Born Free au Nigéria et au Kenya démontrent qu'un talent catalytique peut être un levier capital pour le changement. Born Free a également conclu des partenariats avec le milieu de la mode afin d'utiliser sa voix, sa créativité et sa portée pour faire connaître l'urgence d'éliminer la transmission du VIH de la mère à l'enfant.

Contact

Born Free Africa
Taylor Buonocore
tel. +1 973 723 7105
TBuonocore@healthenvoy.org
UNAIDS
Tina Bille
tel. +41 79 611 0031
billet@unaids.org

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Victoria Beckham, Ambassadrice itinérante internationale de l'ONUSIDA, s'adresse aux jeunes femmes et aux filles

15 octobre 2014

Lors d'une mission d'étude en Afrique du Sud avec l'Elton John AIDS Foundation, l'Ambassadrice itinérante internationale de l'ONUSIDA Victoria Beckham a exprimé son engagement en faveur de la sensibilisation à la vulnérabilité des femmes et des filles au VIH.

Mme Beckham a rencontré Sheila Tlou, Directrice de l'équipe de l'ONUSIDA d'appui aux régions pour l'Afrique orientale et australe, qui l'a informée de la situation de l'épidémie de VIH dans la région et de l'appui de l'ONUSIDA aux ripostes nationales au sida. La conversation a porté sur les différents facteurs qui favorisent l'infection à VIH chez les femmes, notamment les actes de violence, le mariage forcé des enfants, les rapports sexuels intergénérationnels, les violations des droits humains et les pratiques traditionnelles en Afrique australe et orientale.

Mme Beckham a déclaré que ses visites sur les sites du projet mothers2mothers et à la clinique Ramokgopa, ainsi que ses échanges étroits avec des femmes et des filles à Soweto, l'ont aidée à élargir sa compréhension des différents problèmes qui touchent les communautés en Afrique du Sud.

Quotes

« Le meilleur moyen d'éliminer la transmission du VIH de la mère à l'enfant est d'abord d'éviter que les femmes soient infectées. Victoria Beckham peut nous aider à atteindre des millions de jeunes femmes avec des messages de prévention ; elle leur prête sa voix pour faire connaître leurs besoins au monde entier. »

Sheila Tlou, Directrice de l'équipe de l'ONUSIDA d'appui aux régions pour l'Afrique orientale et australe

« Mes entretiens avec des jeunes femmes à Soweto m'ont ouvert les yeux. Ils m'ont donné une occasion exceptionnelle de mieux comprendre les nombreux défis auxquels font face ces merveilleuses jeunes femmes et mères. Elles m'ont bouleversée avec leurs histoires et je veux apporter mon aide par tous les moyens dont je dispose pour leur inspirer le changement. »

Victoria Beckham, Ambassadrice itinérante internationale de l'ONUSIDA

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