PLHIV

Press Release

Advancing the sexual and reproductive health and human rights of people living with HIV


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AMSTERDAM / BALI / GENEVA / LONDON / NEW YORK, 11 August 2009 – People living with HIV and their advocates today launched a groundbreaking guidance package, “Advancing the Sexual and Reproductive Health and Human Rights of People Living with HIV”. Now, policy makers, programme managers, health professionals, donors and advocates have an important tool to better support the sexual and reproductive health and rights of people living with HIV.

With input from networks of people with HIV worldwide, the Guidance Package explains what global stakeholders in the areas of advocacy, health systems, policy making and law can do to support and advance the sexual and reproductive health of people living with HIV, and why these issues matter.

Working together legislators, the law courts, government ministries, international organizations, donors, community- and faith-based organizations, and people living with HIV can provide services and legal support that will contribute to improved sexual and reproductive health for everyone.

“From a public health perspective, decision-makers and service providers must recognize that people living with HIV do enter into relationships, have sex, and bear children,” says Dr Kevin Moody, International Coordinator and CEO of GNP+. “Ensuring that we can enjoy these normal aspects of a productive and fulfilling life is key to maintaining our own health, and that of our partners and families.”

For a person living with HIV, dealing with sex means dealing with difficult issues at vulnerable moments and in vulnerable settings. People living with HIV are expected to disclose their HIV status before engaging in sexual relations – in some countries it is even a legal obligation, even though this may lead to gender-based violence.

In order to meet the Millennium Development Goals (MDGs), sexual and reproductive health must be addressed adequately and a supportive legal framework is essential. “Stigma, discrimination and punitive laws prevent people living with HIV from accessing services and making informed decisions about their sexual and reproductive futures,” said Michel Sidibé, Executive Director of UNAIDS. “This Guidance Package will help to ensure that the human rights of all people living with HIV, irrespective of their lifestyles, are respected and that they obtain access to the services and information they need to protect themselves and their loved ones.”

Advancing the Sexual and Reproductive Health and Human Rights of People Living with HIV is the outcome of a comprehensive, two-year process of research and analysis led by the Global Network of People Living with HIV (GNP+), the International Community of Women Living with HIV/AIDS (ICW) and Young Positives in collaboration with EngenderHealth, International Planned Parenthood Federation (IPPF), the Joint United Nations Programme on HIV/AIDS (UNAIDS), United Nations Population Fund (UNFPA) and the World Health Organization (WHO). Consultations were held in Addis Ababa (March 2006), Amsterdam (December 2007) and at LIVING 2008: The Positive Leadership Summit (August 2008) prior to the XVII International AIDS Conference in Mexico City, as well as through an interactive internet discussion forum.

Advancing the sexual and reproductive health and

Partners:

GNP+

UNAIDS

EngenderHealth


Press centre:

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Contact:

GNP+: Martin Stolk
tel. +31 20 423 4114
mstolk@gnpplus.net
 
UNAIDS: Sophie Barton-Knott
tel. +41 22 791 1697
bartonknotts@unaids.org  

EngenderHealth: Paul Perchal
tel. +1 212 993 9831
pperchal@engenderhealth.org  


Publications:

Advancing the Sexual and Reproductive Health and Human Rights of People Living with HIV (pdf, 1.93 Mb.)

Press Release

Des experts demandent que les services juridiques soient renforcés pour combattre la discrimination liée au VIH en Asie et dans le Pacifique


Bali, 8 août 2009 – Soixante experts juridiques, personnes vivant avec le VIH, et représentants de populations clés dans 13 pays d’Asie et du Pacifique ont appelé aujourd’hui les gouvernements à combattre la discrimination liée au VIH en renforçant et en élargissant les services juridiques relatifs au VIH. Les experts ont assisté à un séminaire sur les services juridiques relatifs au VIH organisé conjointement par l’Organisation internationale de Droit du Développement (OIDD), le Réseau Asie/Pacifique des personnes vivant avec le VIH/sida (APN+), le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

Les experts ont également passé en revue une trousse à outils élaborée récemment par l’OIDD, l’ONUSIDA et le PNUD pour améliorer l’accès aux services juridiques dans les pays en développement et les économies en transition, une des lacunes importantes dans la riposte mondiale au VIH. La trousse à outils aidera les gouvernements et les ONG à 1) élaborer des propositions et soumettre des demandes aux donateurs ; et 2) lancer, élargir et renforcer les services juridiques relatifs au VIH.

La trousse à outils couvre les modèles de prestation de services juridiques applicables à toute une gamme de contextes pour les agences gouvernementales, les organisations juridiques VIH indépendantes, les groupes de services communautaires et œuvrant dans le domaine des droits humains, les universités et les juristes du secteur privé. Elle comprend également un programme de formation modèle pour les juristes et les adjoints juridiques, des informations sur le suivi et l’évaluation des programmes et les stratégies de mobilisation des ressources.

« L’expérience en matière de riposte au sida a montré que l’accès aux services juridiques contribue largement à la garantie d’une protection contre la discrimination, à la réparation des violations des droits de la personne et à l’élargissement de l’accès à la prévention et au traitement du VIH, » a déclaré David Patterson, responsable du programme VIH et droit de la santé de l’OIDD. « Toutefois, ces programmes ne sont pas suffisamment soutenus par les ripostes nationales au sida, et lorsqu’ils existent, leur qualité et leur portée laissent souvent à désirer. »

Les personnes vivant avec le VIH ou affectées par le virus ont souvent besoin d’une aide pratique pour maintenir un logement adéquat, conserver la garde de leurs enfants, exercer leurs droits à la propriété et à l’héritage, ou accéder aux soins de santé, à l’éducation ou à l’emploi sans discrimination. L’accès aux services juridiques est encore plus important dans les environnements juridiques répressifs. Un nombre croissant de pays adoptent des lois excessivement larges pour pénaliser la transmission du VIH. Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les professionnel(le)s du sexe et les personnes qui consomment des drogues sont confrontés à des sanctions pénales dans de nombreux pays, ce qui les empêche d’accéder aux services liés au VIH et accroît leur vulnérabilité.

« L’ONUSIDA plaide pour que l’accès à la justice soit un élément fondamental, programmatique du mouvement en faveur de l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui en matière de VIH, » a déclaré Susan Timberlake, Conseillère principale de l’ONUSIDA pour le droit et les droits de l’homme. « La persistance de la discrimination, qu’elle soit causée par la séropositivité, le sexe ou le statut social, signifie que les services juridiques sont une partie essentielle et nécessaire de la riposte globale à l’épidémie. »

Aucune solution uniforme pour les services juridiques

Les services juridiques liés au VIH prennent plusieurs formes, parmi lesquelles : l’information et le conseil juridiques, notamment par le biais de lignes d’assistance téléphoniques, le recours officiel, la médiation et d’autres formes de résolution des différends, l’aide par le biais de systèmes juridiques informels ou traditionnels (par exemple les tribunaux de villages), et l’éducation juridique communautaire. Les prestataires de services juridiques ne sont pas toujours des juristes. Il peut s’agir d’un adjoint juridique, d’un volontaire, d’un étudiant ou d’un éducateur pour les pairs. Ces services sont fournis dans divers endroits, notamment des centres de conseil et de traitement liés au VIH, des centres d’aide juridique ‘traditionnels’, des prisons et des installations communautaires. Les travaux entrepris peuvent être aussi en rapport avec un plaidoyer pour une réforme de la loi.

D’après Jeff O’Malley, Directeur du Groupe VIH/sida au PNUD, « Les raisons de soutenir les services juridiques relatifs au VIH reposent sur deux arguments liés. Tout d’abord, ces services sont essentiels car ils améliorent l’accès à la justice et sont un moyen important de protéger les droits humains des populations socialement marginalisées et vulnérables. Ensuite, ils sont indispensables pour assurer des résultats optimaux en matière de VIH, de santé et de développement, qui sont tous appuyés par la réalisation des droits. »

« L’un de nos objectifs est d’aider les pays à reconnaître l’importance des services juridiques dans la réalisation de l’accès universel et de l’OMD 6, puis de travailler avec eux pour mettre en place une stratégie destinée à renforcer ces services, a expliqué M. O’Malley. « Les services juridiques existants liés au VIH sont généralement de faible étendue et leur couverture est fragmentaire. La marginalisation ‘juridique’ des populations clés étant très élevée, parvenir à l’accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l’appui exige un engagement visant à renforcer la protection juridique et l’accès aux services juridiques liés au VIH. »

« Il existe des exemples extraordinaires de travaux formidables accomplis pour fournir des services juridiques, » a déclaré David Patterson. « Il est impératif d’accorder la même urgence à l’élargissement de ces services juridiques qu’à la fourniture de traitement. »

Le séminaire comprenait des participants venus d’Australie, du Cambodge, de Chine, d’Inde, d’Indonésie, de Malaisie, du Népal, du Pakistan, de Papouasie-Nouvelle-Guinée, des Philippines, de Sri Lanka, de Thaïlande et du Viet Nam. Il s’est tenu avant le Congrès international sur le sida en Asie et dans le Pacifique. Le Congrès sera ouvert le dimanche 9 août par le Président de la République d’Indonésie, S.E. le Dr H. Susilo Bambang Yudhoyono. Un soutien financier pour le séminaire a été fourni par l’AusAID et l’OFID.

L’APN+ est le réseau des personnes vivant avec le VIH et le sida dans la région de l’Asie et du Pacifique. Il a été établi en 1994 lors d’une réunion à Kuala Lumpur par 42 personnes vivant avec le VIH et le sida (PVVS) venues de huit pays pour répondre à la nécessité de faire entendre une voix collective pour les PVVS dans la région, pour mieux relier les PVVS à l’échelon régional au Réseau mondial des personnes vivant avec le VIH (GNP+) et aux réseaux de personnes séropositives à travers le monde, et pour soutenir les ripostes régionales à la stigmatisation et la discrimination largement répandues et mieux accéder au traitement et à la prise en charge. L’APN+ célèbre aujourd’hui son 15ème anniversaire avec des membres en provenance de 28 pays de la région Asie/Pacifique et dispose d’un secrétariat à Bangkok, qui coordonne un nombre croissant de projets régionaux axés sur les PVVS. www.apnplus.org

L’AusAID est l’agence gouvernementale australienne responsable de la gestion du programme d’aide extérieure de l’Australie. L’objectif du programme consiste à aider les pays en développement à réduire la pauvreté et réaliser un développement durable, conformément aux intérêts nationaux de l’Australie. Un appui additionnel à ce séminaire a été accordé par le biais du Système de soutien aux séminaires internationaux (ISSS) de l’AusAID. L’ISSS finance la participation aux séminaires orientés vers le développement international en Australie et à l’étranger. Le système contribue à améliorer les connaissances et l’expertise technique dans les pays en développement, et crée des liens entre les secteurs gouvernementaux, universitaires et communautaires en Australie et les pays en développement partenaires. www.ausaid.gov.au

L’OIDD est une organisation intergouvernementale non partisane qui œuvre en faveur de la promotion de réformes juridiques, réglementaires et institutionnelles pour faire progresser le développement économique et social dans les pays en transition et en développement. Fondée en 1983, et l’une des pionnières de l’assistance à l’état de droit, l’OIDD utilise son accès aux gouvernements et aux groupes d’intérêts appartenant à diverses idéologies, ainsi que son expertise et son vaste réseau de parties prenantes, afin de créer des opportunités pour les personnes qui en ont le plus besoin. www.idlo.int

L’OFID est l’institution financière chargée du développement dans les Etats Membres de l’OPEP, établie afin de fournir un soutien financier pour le développement socio-économique, en particulier dans les pays à faible revenu. En Asie et dans le Pacifique, l’OFID appuie les programmes de l’OIDD sur le VIH et la loi en Chine, en Indonésie et en Papouasie-Nouvelle-Guinée. www.ofid.org

L’ONUSIDA est un programme novateur des Nations Unies, qui rassemble les efforts et les ressources du Secrétariat de l’ONUSIDA et de 10 organisations du système des Nations Unies dans la riposte au sida. Le Siège du Secrétariat se trouve à Genève, Suisse, et le programme emploie du personnel sur le terrain dans plus de 80 pays. Les Coparrainants de l’ONUSIDA sont : le HCR, l’UNICEF, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’ONUDC, l’OIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. La priorité numéro un pour l’ONUSIDA consiste à contribuer à la réalisation des engagements mondiaux en faveur de l’accès universel à des interventions complètes pour la prévention, le traitement, les soins et l’appui en matière de VIH. Consultez le site web de l’ONUSIDA sur www.unaids.org.

Le PNUD est le réseau mondial de développement dont dispose le système des Nations Unies. Il prône le changement, et relie les pays aux connaissances, expériences et ressources dont leurs populations ont besoin pour améliorer leur vie. Présente sur le terrain dans 166 pays, l’organisation aide ses partenaires nationaux à identifier leurs propres solutions aux défis auxquels ils sont confrontés en matière de développement sur le plan mondial et au niveau national. Alors que l’organisation développe les capacités à l’échelon local, elle s’appuie sur le personnel du PNUD et son large éventail de partenaires.

Des experts demandent que les services juridiques

Partenaires:

APN+

AusAID

OIDD

OFID

ONUSIDA

PNUD


Centre de presse:

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Contact:

OIDD: David Patterson (M.),
responsable du programme VIH et droit de la santé
 E-mail: dpatterson@idlo.int 
portable: + 1 514 692 7668
Tél. Bali: +62 361 773
730 (Hôtel Ramada Benoa, chambre 243, jusqu’au 15 août)

PNUD: Dr Mandeep Dhaliwal (Mme),
Chef du Groupe sur le Genre, les droits de l’homme et les diversités sexuelles, pratique du PNUD sur le VIH/sida.
E-mail: mandeep.dhaliwal@undp.org  
portable : +1 646.642.4912
Tél. Bali: 081 237 586 498

Press Statement

La criminalisation des comportements sexuels et de la transmission du VIH entrave les ripostes au sida


Geneva, 27 novembre 2008— La criminalisation des comportements sexuels adultes et la violation des droits humains des personnes vivant avec le VIH entravent les activités de lutte contre le VIH dans le monde. L’ONUSIDA presse les pays à supprimer les lois et politiques qui empêchent les individus d’accéder aux programmes de prévention et de traitement du VIH et d’adopter des lois qui protègent les personnes vivant avec le VIH de la coercition et des atteintes à leur vie privée.

Récemment, plusieurs pays et organismes locaux se sont mis à envisager des mesures juridiques telles que la criminalisation de l’homosexualité, le recours à la technologie pour surveiller les mouvements des personnes vivant avec le VIH et le dépistage obligatoire du VIH ainsi que la réinsertion forcée des professionnel(le)s du sexe et des toxicomanes. Ce type de mesures a un effet négatif sur le fonctionnement des programmes de prévention du VIH et sur l’accès aux traitements des personnes vivant avec le VIH. Non contentes de violer les droits humains des individus, elles stigmatisent davantage encore ces populations.

« L’homophobie, sous toutes ses formes est l’un des principaux facteurs qui, à l’échelle mondiale, nous empêchent de mettre un terme à cette épidémie, » a déclaré le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, le Dr Peter Piot. « Tant que les communautés, les ONG, les gouvernements et les organisations internationales ne respecteront ni n’encourageront les droits de toutes les personnes, quelle que soit leur sexualité, nous ne pourrons pas stopper le sida. »

Les restrictions visant les personnes vivant avec le VIH, qu’elles consistent à limiter leur capacité à voyager, à surveiller leurs mouvements ou à criminaliser la transmission du VIH, ne sont pas toutes fondées sur des pratiques rationnelles de santé publique. Elles risquent de marginaliser les personnes vivant avec le VIH et de faciliter plus encore la transmission du VIH.

Les lois qui réduisent la stigmatisation et la discrimination, protègent l’intimité et encouragent l’égalité sexospécifique et sexuelle contribuent à sauver des vies. On ne relève que 26% des pays indiquant disposer de lois qui protègent les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes. Actuellement, 84 pays dans le monde ont des lois interdisant les rapports sexuels avec des personnes de même sexe.

Dans la déclaration politique sur le VIH/sida de 2006, les gouvernements se sont engagés à supprimer ces obstacles juridiques et à passer des lois susceptibles de protéger les populations vulnérables. Ce sont les pays qui n’appliquent aucune loi à l’encontre des hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes, des consommateurs de drogues injectables et des professionnel(le)s du sexe qui ont atteint, dans leurs activités de prévention du VIH, des taux de couverture plus élevés.

Pour contacter l’ONUSIDA : Mallory Smuts | +41 22 7911697, email: smutsm@unaids.org

About UNAIDS

L’ONUSIDA est une entreprise conjointe innovante des Nations Unies qui rassemble les efforts et les ressources du Secrétariat de l’ONUSIDA et de dix organisations du système des Nations Unies dans leur riposte au sida. Le siège du Secrétariat est à Genève (Suisse) – le personnel est présent sur le terrain dans plus de 80 pays. Des groupes thématiques des Nations Unies assurent la cohérence de l’action des programmes conjoints sur le sida au niveau des pays. Les organismes coparrainants de l’ONUSIDA comprennent le HCR, l’UNICEF, le PAM, l’UNFPA, l’ONUDC, le BIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Visitez le site de l’ONUSIDA sur www.unaids.org


La criminalisation des comportements sexuels et d

Centre de presse:

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Contact:

Mallory Smuts
Tel: +41 22 7911697
Email: smutsm@unaids.org

Documents

Brochure du travail géneral de l´ONUSIDA

11 avril 2007

L’ONUSIDA et ses dix Coparrainants se sont engagés à ‘Unir le monde contre le SIDA’ et à contribuer à mettre en place une riposte durable au SIDA. Pour cela, nous devons travailler ensemble et avec tous les partenaires de la riposte au SIDA, afin d’édifier une coalition mondiale unie et élargie en vue de réaliser des objectifs véritablement partagés.

Documents

L’impact des restrictions à l’entrée, au séjour et à la résidence liées au VIH : témoignages personnels

18 août 2009

L’impact des restrictions à l’entrée, au séjour et à la résidence liées au VIH : témoignages personnels a été compilé à la demande de la Cellule internationale de réflexion sur les restrictions au voyage liées au VIH. La Cellule de réflexion a été créée par l’ONUSIDA en janvier 2008 en tant que groupe consultatif/technique avec pour rôle de galvaniser l’attention et de remettre à l’ordre du jour national, régional et international ces restrictions, et de promouvoir l’action en vue de leur élimination. Les principes de la non-discrimination et de la participation accrue des personnes vivant avec le VIH étaient au coeur des travaux de la Cellule de réflexion et ont fourni le contexte dans lequel les efforts ont été déployés.

Documents

Santé positive, Dignité et Prévention : Un cadre d’action

01 juillet 2011

Les objectifs premiers de la Santé positive, Dignité et Prévention consistent à améliorer la dignité, la qualité et la durée de vie des personnes vivant avec le VIH ; ces objectifs, une fois atteints, auront un impact bénéfique sur leurs partenaires, leurs familles et leurs communautés, notamment avec la réduction de la probabilité de nouvelles infections.

Documents

Le VIH et le vieillissement

01 novembre 2013

Un nombre croissant de personnes de 50 ans et plus sont touchées par l’épidémie de VIH, d’où la nécessité d’élaborer de nouvelles ripostes. Les personnes vivant avec le VIH peuvent désormais vivre plus longtemps et de manière plus active grâce à la généralisation d’un traitement antirétroviral efficace. De moins en moins de personnes de 15 à 49 ans contractent le virus, ce qui contribue au “vieillissement” de l’épidémie de VIH. Les personnes de 50 ans et plus ont adopté de nombreux comportements à risque observés chez les plus jeunes.

Documents

Brochure du travail géneral de l´ONUSIDA

11 avril 2007

L’ONUSIDA et ses dix Coparrainants se sont engagés à ‘Unir le monde contre le SIDA’ et à contribuer à mettre en place une riposte durable au SIDA. Pour cela, nous devons travailler ensemble et avec tous les partenaires de la riposte au SIDA, afin d’édifier une coalition mondiale unie et élargie en vue de réaliser des objectifs véritablement partagés.

Documents

Le Programme Partenariats positifs en Thaïlande : Donner aux personnes vivant avec le VIH les moyens de se prendre en charge

01 juillet 2007

Collection meilleures pratiques de l´ONUSIDA: En Thaïlande, une initiative innovante, le Programme Partenariats positifs (PPP) s’attaque directement à ces obstacles. Le PPP a deux objectifs distincts bien que complémentaires. Le premier, qui est de donner aux personnes vivant avec le VIH les moyens de se sortir de la pauvreté, consiste à leur octroyer des petits prêts qui leur permettent de démarrer des petites entreprises dans leur communauté. Le deuxième objectif est de réduire la stigmatisation et la discrimination à l’encontre des personnes vivant avec le VIH.

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