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Pas assez de préservatifs

29 avril 2019

À condition d’être facilement disponibles et d’être utilisés systématiquement et correctement, les préservatifs sont l’une des méthodes les plus efficaces et économiques pour réduire la transmission du VIH et des autres infections sexuellement transmissibles et éviter les grossesses non désirées. Malheureusement, les préservatifs ne sont pas disponibles en quantités suffisantes pour ceux qui en ont besoin dans de nombreux pays fortement touchés par le VIH.

En 2015, dans 47 pays d’Afrique subsaharienne, les besoins en préservatifs masculins étaient estimés à 6 milliards ; pourtant, seulement 2,7 milliards de préservatifs environ ont été distribués.

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Le consentement parental obligatoire dans la majorité des pays du monde

15 avril 2019

Bien que l’intention des lois relatives à l’âge de la majorité pour l’accès aux services médicaux soit souvent de protéger les enfants, en pratique, ces lois ont l’effet inverse, en dissuadant les adolescents d’accéder aux services dont ils ont besoin pour rester en bonne santé.

Les lois sur l’âge de la majorité pour l’accès aux services médicaux obligent les personnes âgées de moins de 18 ans à obtenir la permission d’un parent ou d’un tuteur avant d’accéder à des services de santé sexuelle et reproductive, au dépistage et au traitement du VIH, à la prophylaxie pré-exposition et à d’autres services de santé. Ces dispositions touchent plus particulièrement les adolescentes, dont la sexualité tend à être stigmatisée et qui doivent supporter le fardeau physique et social de grossesses non désirées.

En 2017, 78 des 110 pays couverts ont déclaré qu’ils imposaient le consentement parental pour un enfant de moins de 18 ans pour l’accès au dépistage du VIH, et 61 pays sur les 109 ayant répondu imposaient le consentement parental pour le traitement du VIH. En outre, dans 68 des 108 pays ayant répondu, le consentement parental était obligatoire pour accéder aux services de santé sexuelle et reproductive.

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Transmettre aux jeunes les connaissances nécessaires pour rester en bonne santé

23 avril 2019

L’éducation sexuelle complète joue un rôle capital dans la préparation des adolescents et des jeunes pour une vie saine, productive et épanouie, et elle représente un élément important de la prévention du VIH chez les jeunes. Elle ouvre des opportunités d’apprendre et d’acquérir des connaissances complètes, détaillées, éclairées par des données probantes et adaptées à leur âge sur la sexualité et les questions de santé sexuelle et reproductive.

Il a été démontré que l’éducation sexuelle complète, définie comme un processus d’enseignement et d’apprentissage basé sur le cursus et portant sur les aspects cognitifs, émotionnels, physiques et sociaux de la sexualité, contribue au report des premiers rapports sexuels, à une baisse de fréquence des rapports sexuels, à une baisse du nombre de partenaires sexuels, à une moindre prise de risque, à une utilisation accrue des préservatifs et à un recours accru à la contraception chez les jeunes.

Pourtant, malgré son importance, l’accès à l’éducation sexuelle complète est loin d’être universel.

 

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La moitié seulement des bébés exposés au VIH bénéficient d’un dépistage

25 mars 2019

Plus le diagnostic et le lancement du traitement sont précoces chez un bébé né avec le VIH, meilleurs sont les résultats.

Chez les enfants de moins de 18 mois, le diagnostic nécessite un dépistage virologique, qui détecte le virus ou ses composantes. Le dépistage sérologique, qui détecte les antigènes et/ou les anticorps anti-VIH générés en réponse immunitaire à l’infection, est utilisé pour les enfants de plus de 18 mois et les adultes. Le dépistage sérologique ne peut pas être utilisé chez les nourrissons, car il ne permet pas de faire la différence entre les anticorps anti-VIH produits par la mère et transmis à son bébé pendant la grossesse, le bébé restant ainsi protégé de l’infection, et les anticorps anti-VIH produits par un bébé infecté par le VIH.

Le dépistage virologique n’est pas disponible en permanence dans la plupart des pays à revenu faible et intermédiaire ; néanmoins, lorsqu’il est accessible, il est souvent cher et prend beaucoup de temps, avec plusieurs visites à l’hôpital pour les mères et les nourrissons, le transport des échantillons vers des laboratoires centralisés et les retards possibles dans le retour des résultats.

À l’échelle mondiale, seulement la moitié des nourrissons exposés au VIH pendant la grossesse sont dépistés avant l’âge de huit semaines. Étant donné que la mortalité chez les nourrissons non traités est maximale au cours des trois premiers mois de la vie, un diagnostic et une mise sous traitement rapides sont indispensables.

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Les consommateurs de drogues toujours laissés pour compte

18 mars 2019

Alors que l’incidence de l’infection à VIH a reculé de 22 % pour toutes les tranches d’âge dans le monde entre 2011 et 2017, les infections à VIH sont en hausse chez les consommateurs de drogues injectables. L’incidence du VIH, c’est-à-dire le nombre de nouvelles infections à VIH au sein d’une population sensible pendant une certaine période, est passée de 1,2 % environ en 2011 à 1,4 % en 2017 chez les consommateurs de drogues injectables.

Il existe des données probantes complètes et convaincantes montrant que la réduction des risques, notamment avec le traitement de substitution aux opiacés et les programmes de distribution d’aiguilles et de seringues, permet de prévenir les infections à VIH chez les consommateurs de drogues injectables. Toutefois, la pénalisation de l’usage et de la possession à des fins personnelles et la stigmatisation, la discrimination et la violence courantes auxquelles font face les consommateurs de drogues empêchent l’accès aux services de santé et de réduction des risques.

Dans son nouveau rapport intitulé Santé, droits et drogues : réduction des risques, dépénalisation et discrimination zéro pour les consommateurs de drogues, l’ONUSIDA propose un ensemble de recommandations que les pays peuvent adopter pour une riposte à la consommation de drogues basée sur la santé publique et les droits de l’homme.

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Press Statement

Message du Directeur exécutif de l’ONUSIDA à l’occasion de la Journée Zéro Discrimination

À l’occasion de la Journée Zéro Discrimination le 1er mars, nous célébrons le plaidoyer et l’activisme qui permettent au monde d’approcher de la zéro discrimination, et les actions et lois qui aident à s’assurer que les personnes puissent vivre dans la dignité.

Cette année, je lance un appel pour changer les lois et les pratiques discriminatoires, qui représentent un obstacle considérable à l’accès à la santé et à d’autres services essentiels.

Les lois doivent protéger, et non rejeter. Chaque personne a un droit égal à être traité avec dignité et respect.

En 2019, j’en appelle aux pays pour qu’ils soutiennent le Partenariat mondial pour l’élimination de toutes les formes de stigmatisation et de discrimination liées au VIH qui a été lancé le 10 décembre 2018 lors de la journée mondiale des droits de l’homme, par le Réseau mondial des personnes vivant avec le VIH, le Programme des Nations Unies pour le Développement,  d’ONU Femmes, la délégation des ONG du Comité de Coordination du Programme.

Les organisations de la société civile et les réseaux des personnes séropositives et des populations clés mènent en collaboration avec les organisations clés des Nations Unies (Programme Alimentaire Mondial, Programme des Nations Unies pour le Développement, ONU Femmes, le Bureau International du Travail, l'Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture, et l’Organisation Mondiale de la Santé) des groupes de travail qui apporteront les orientations aux pays travaillant à répondre à la stigmatisation et à la discrimination liés aux VIH.

Le travail du partenariat mondial se concentre sur six domaines : les établissements de santé, le lieu de travail, le système éducatif, le système judicaire, les ménages, et crises humanitaires et autres situations d'urgence.  

L’objectif de zéro discrimination est essentiel pour atteindre la couverture santé universelle et les objectifs de développement durable. Dans le monde entier, des personnes ne peuvent pas mener leur vie avec dignité à cause de lois et de pratiques discriminatoires. Par exemple :

  • Au moins 20 pays dans le monde imposent encore des restrictions de déplacement aux personnes vivant avec le VIH.
  • Dans 29 pays, les femmes doivent obtenir le consentement de leur époux ou de leur partenaire pour accéder aux services de santé sexuelle et reproductive.

Les lois doivent protéger et non faire du mal. Tous les pays doivent examiner avec attention leurs lois et leurs politiques afin de garantir égalité et protection pour tous, sans exception.

Pour la Journée Zéro Discrimination et tous les autres jours, agissons ensemble pour changer les lois discriminatoires.

Michel Sidibé

Directeur exécutif de l'ONUSIDA

Secrétaire général adjoint des Nations Unies

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Anne-Claire Guichard
tel. +41 22 791 2321
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communications@unaids.org

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Press Release

L'ONUSIDA demande que des mesures soient prises pour modifier les lois discriminatoires afin de rétablir la dignité, le respect et sauver des vies

À l'occasion de la Journée zéro discrimination, l'ONUSIDA appelle les pays à examiner les dispositions discriminatoires de leurs lois et politiques et à apporter des changements positifs pour garantir l'égalité, l'inclusion et la protection de tous

GENÈVE, 1er mars 2019—En 2018, un certain nombre de pays ont pris la décision historique de modifier les lois et projets de loi discriminatoires. La Cour suprême de l'Inde a invalidé l'article 377 du Code pénal, qui pénalisait les relations sexuelles entre personnes de même sexe, les Philippines ont abaissé l'âge du consentement au test volontaire de dépistage du VIH sans qu'il soit nécessaire d'obtenir le consentement d'un parent ou d'un tuteur légal et le Malawi a écarté les dispositions d'un projet de loi qui aurait pénalisé la non-divulgation, l'exposition et la transmission du VIH.

La Journée zéro discrimination donne à l'ONUSIDA l'occasion de rappeler l'égalité de toutes les personnes, en matière de dignité et de valeur, consacrées dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme ; et appelle à agir pour modifier les lois et pratiques discriminatoires, qui constituent un obstacle d'envergure à l'accès à la santé et à d'autres services. .

Le Directeur exécutif de l'ONUSIDA, Michel Sidibé a déclaré, « Des violations des droits de l'homme se produisent dans le monde entier à cause de lois et de pratiques discriminatoires. Les lois doivent protéger et non causer du préjudice. Tous les pays doivent examiner attentivement leurs lois et leurs politiques afin de garantir l'égalité et la protection de tous, sans exception ».

La sensibilisation, la mobilisation et des actions concrètes sont essentielles. Lors de la Journée zéro discrimination, l'ONUSIDA propose des actions spécifiques que les individua, les organisations de la société civile, les parlementaires et les organisations de donateurs peuvent entreprendre pour modifier les lois discriminatoires. Celles-ci vont du soutien aux personnes touchées par une loi discriminatoire, à l'adhésion à une organisation non gouvernementale en passant par le dépôt d'amendements à la loi et l'appel à un réexamen de la législation.

Faire un changement positif est possible et une loi peut être modifiée ou abolie à travers différentes approches. Parmi celles-ci :

  • La réforme ou la suppression des lois par le biais de processus et vote des parlementaires.
    • Il est donc essentiel de sensibiliser les parlementaires, comme cela a été fait lors de la révision des lois sur le VIH aux Philippines et des projets de loi au Malawi.
  • Dans de nombreux pays, les tribunaux ont le pouvoir d’annuler des lois discriminatoires. Cette annulation peut être faite si une personne ou une organisation touchée par la loi intente une action en justice et gagne grâce à des arguments en faveur du changement.
    • L'affaire de la Cour suprême de l'Inde, qui a supprimé l'article 377 en 2018, en est un exemple frappant.
  • Dans certains pays, les citoyens ou les politiciens peuvent proposer une réforme législative par le biais d'une pétition et demander un vote ou un référendum national.
    • C'est une méthode standard de législation en Suisse.

L'ONUSIDA a recensé une série de lois discriminatoires, qui entravent l'accès aux services de santé et aux services sociaux, limitent la liberté de mouvement et violent les droits de l'homme.

En 2018 :

  • Au moins 20 pays ont imposé des restrictions de voyage d'une certaine forme aux personnes vivant avec le VIH.
  • Environ 29 pays ont déclaré exiger le consentement du mari ou du partenaire de la femme pour son accès aux services de santé sexuelle et reproductive.
  • Cinquante-neuf pays ont indiqué que la loi, les règlements ou les politiques prévoyaient un test de dépistage obligatoire du VIH pour les permis de mariage, de travail ou de résidence ou pour certains groupes de personnes.
  • Dix-sept pays ont incriminé les personnes transgenres.
  • Quarante-cinq pays avaient des lois imposant le consentement des parents aux adolescents et aux jeunes de moins de 18 ans pour accéder aux services de dépistage du VIH.
  • Trente-trois pays ont légalement imposé la peine de mort pour des infractions liées à la drogue.
  • Les relations sexuelles entre personnes de même sexe ont été pénalisées dans au moins 67 pays et territoires du monde entier.

L’ONUSIDA collabore activement avec les partenaires des Nations Unies, les gouvernements et les organisations de la société civile pour modifier ces lois dans le cadre du Partenariat mondial pour l’élimination de toutes les formes de stigmatisation et de discrimination liées au VIH.

Campagne zéro discrimination, 2019 - Agir pour changer les lois discriminatoires.

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Anne-Claire Guichard
tel. +41 22 791 2321
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Lancement d’un partenariat mondial pour l’élimination de la stigmatisation et de la discrimination liées au VIH

10 décembre 2018

Malgré les obligations liées aux droits de l’homme et les engagements politiques, la stigmatisation et la discrimination liées au VIH restent largement répandues dans le monde et dans tous les secteurs de la société.

Faisant suite à un appel lancé par la société civile en 2017 afin d’accélérer et d’élargir les actions de lutte contre la stigmatisation et la discrimination, l’ONUSIDA, ONU Femmes, le Programme des Nations Unies pour le développement et le Réseau mondial des personnes vivant avec le VIH (GNP+) ont décidé de former ensemble le Partenariat mondial pour l’élimination de toutes les formes de stigmatisation et de discrimination liées au VIH.

Ce partenariat mondial a été lancé le 10 décembre, à l’occasion du 70e anniversaire de l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme, lors d’une manifestation organisée à Genève, en Suisse. Parmi les intervenants présents lors de cet événement figuraient Phanpob Plangprayoon, Représentant permanent adjoint de la Thaïlande auprès des Nations Unies et d’autres organisations internationales à Genève, Dan Namarika, Secrétaire à la Santé du Malawi, Raquel Duarte, Vice-ministre de la Santé du Portugal, et Simran Shaikh, représentante communautaire auprès du Conseil de Coordination du Programme de l’ONUSIDA (CCP).

Les participants ont présenté des programmes qui ont prouvé leur efficacité dans le recul de la stigmatisation et de la discrimination liées au VIH dans les secteurs que ciblera ce partenariat mondial : santé, écoles, lieux de travail, famille, système judiciaire et structures d’urgence et humanitaires.

« Ce partenariat a pour but de transformer les engagements des États membres en programmes bien dotés, dont l’efficacité est avérée, et qui peuvent se traduire par la jouissance pour tous des droits liés au VIH », a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA.

« Le Réseau mondial des personnes vivant avec le VIH est heureux de faire partie des coorganisateurs de ce partenariat mondial capital et inédit, dont la mission est de transformer les meilleures stratégies de nos communautés pour mesurer et lutter contre la stigmatisation et la discrimination liées au VIH en des objectifs et des cibles réalistes et responsables », a déclaré Javier Hourcade Bellocq, Président du Conseil d’administration de GNP+.

Les personnes vivant avec le VIH, les adolescents, les jeunes et les populations clés connaissent la discrimination, notamment la discrimination fondée sur leur genre et leur identité de genre, leur race, leur appartenance ethnique, leur âge, leur orientation sexuelle, la consommation de drogues ou encore leur statut de migrant. Ces couches superposées de stigmatisation et de discrimination accroissent leur vulnérabilité au VIH et nuisent à leurs droits, notamment leur droit à la santé, au travail et à l’éducation.

À l’issue de cet événement, la délégation des organisations non gouvernementales du CCP de l’ONUSIDA a appelé les organismes coparrainants, les États membres, la société civile, les populations clés, les communautés et les partenaires à se joindre au partenariat mondial pour mener et soutenir des actions nationales concrètes et les investissements pour en finir avec la stigmatisation et la discrimination liées au VIH.

partenariat mondial pour l’élimination de la stigmatisation et de la discrimination liées au VIH

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Les Premières dames d’Afrique et l’Union africaine lancent Free to Shine

06 février 2018

Les Premières dames d’Afrique sont actuellement en première ligne dans la promotion d’une campagne visant à stopper l’infection à VIH chez l’enfant, prévenir les décès dus au sida et maintenir les mères en bonne santé dans toute l’Afrique.

La campagne Free to Shine a été lancée par l’Organisation des Premières dames d’Afrique contre le VIH/sida (OPDAS) et l’Union africaine en marge de la 30e session ordinaire de l’Union africaine à Addis Abeba, en Éthiopie. La présentation a eu lieu lors de l’Assemblée générale annuelle de l’OPDAS, à laquelle ont participé cette année 20 premières dames venues de toute l’Afrique, réunies sur le thème « Transformer l’Afrique en donnant la priorité aux enfants, aux adolescents et aux mères dans la lutte contre le VIH ».  

L’initiative Free to Shine a été inspirée par les progrès et les engagements pris sur tout le continent afin de mettre un terme aux nouvelles infections à VIH chez les enfants, et vise à s’appuyer sur ces progrès en rassemblant les individus et les organisations au niveau local et mondial dans le but de faire avancer la garantie de l’accès aux services anti-VIH pour en finir avec le sida chez les enfants et maintenir les mères en bonne santé.

 


LES CHIFFRES

En 2016, près de 160 000 enfants ont été nouvellement infectés par le VIH.

Sans traitement, la plupart des enfants vivant avec le VIH mourront avant leur cinquième anniversaire.

En 2016, moins de la moitié (43 %) des enfants vivant avec le VIH ont eu accès au traitement.


 

Les objectifs de la campagne sont les suivants : améliorer les programmes de lutte contre le VIH chez la mère et l’enfant en Afrique en bâtissant des réseaux et des partenariats, favoriser la mobilisation des ressources nationales et mondiales, sensibiliser à la prévention du VIH et mobiliser les soutiens en faveur des programmes de lutte contre le sida chez l’enfant en Afrique en travaillant avec les organismes et les forums internationaux et régionaux de haut niveau.

La campagne Free to Shine, menée par l’OPDAS et l’Union africaine, est soutenue par l’ONUSIDA, l’Organisation mondiale de la Santé, Abbott, la Fondation Elizabeth Glaser Pediatric AIDS, le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance, le Programme des Nations Unies pour le développement et AIDS Accountability International.

Quotes

« Prévenir les nouvelles infections à VIH va transformer l’agenda plus large de l’Afrique en matière de santé et de développement et donner à nos enfants un avenir en bonne santé et plein d’espoir. »

Roman Tesfaye PREMIÈRE DAME D’ÉTHIOPIE ET PRÉSIDENTE DE L’ORGANISATION DES PREMIÈRES DAMES D’AFRIQUE CONTRE LE VIH/SIDA

« L’ONUSIDA est fier de continuer d’accompagner l’Organisation des Premières dames d’Afrique contre le VIH/sida et l’Union africaine, et je sais que le VIH va rester en tête de votre agenda, car la fin de l’épidémie de sida aura un impact sur tout le spectre des questions de développement. »

Michel Sidibé DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’ONUSIDA

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