Le sida est à la croisée des chemins : En cette journée des droits de l'homme, suivons le chemin des droits pour mettre fin au sida
GENÈVE, le 10 décembre 2024 — Le monde peut mettre fin au sida si les droits humains des personnes vivant avec ou affectées par le VIH sont respectés, protégés et mis en œuvre, afin de placer les communautés au premier plan et de garantir un accès équitable à des services de qualité en matière de VIH.
L'ONUSIDA salue la décision de la Cour suprême de Namibie de déclarer inconstitutionnelle la loi qui criminalisait les relations entre personnes de...
GENÈVE, 21 JUIN 2024 - L'ONUSIDA se félicite de l'arrêt de la Cour suprême de Namibie, qui a déclaré inconstitutionnelle la loi qui criminalisait les relations entre personnes de même sexe. La Cour a estimé que la loi était incompatible avec les droits constitutionnels des citoyens namibiens. Cette décision, qui s'inscrit dans la lignée d'une série de jugements rendus par des tribunaux d'Afrique australe ces dernières années, marque une victoire importante pour l'...
L’ONUSIDA se tient aux côtés des communautés LGBTQ+ du monde entier alors que les Marches des Fiertés débutent
Alors que les communautés LGBTQ+ et leurs allié‧es descendent dans la rue pour célébrer le mois des Fiertés, l’ONUSIDA se montre solidaire et rejette ouvertement la criminalisation, la discrimination et la stigmatisation des personnes LGBTQ+ tout en mettant l’accent sur le respect de tous et toutes.
L'ONUSIDA appelle à la protection des droits de l'homme à l'occasion de la Journée internationale de lutte contre l'homophobie, la biphobie et la...
À l'approche de l'IDAHOBIT, commémoré dans le monde entier le 17 mai, l'ONUSIDA appelle les gouvernements du monde entier à protéger les droits humains des personnes LGBTQ+. La protection des droits de l'homme de chaque personne, selon les recherches de l'ONUSIDA, est essentielle pour protéger la santé publique, car elle permet un accès inclusif et équitable aux services de santé sans discrimination.
L'ONUSIDA exprime sa profonde inquiétude face à l'adoption d'une nouvelle législation anti-LGBT en Irak
Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) est profondément préoccupé par l'impact de la nouvelle législation néfaste en Irak qui modifie la loi anti-travail sexuel de 1988 pour criminaliser les personnes LGBTQ+. Cette loi prévoit une peine d'emprisonnement de 10 à 15 ans pour les relations sexuelles entre personnes de même sexe. Les personnes transgenres risquent jusqu'à trois ans d'emprisonnement pour avoir exprimé leur genre ou reçu des soins d'affirmation du genre....
L'ONUSIDA se félicite de l'arrêt du tribunal protégeant les droits des personnes LGBTQ en Dominique
L'ONUSIDA salue la décision de la Haute Cour de la Dominique de protéger les droits des personnes LGBTQ en Dominique.
À l'occasion du 10e anniversaire de la Journée zéro discrimination, l'ONUSIDA lance un appel en faveur de la protection de nos droits humains en...
La Journée zéro discrimination a été instituée par l'ONUSIDA il y a dix ans pour faire progresser l'égalité et la justice pour tout le monde, indépendamment du sexe, de l'âge, de la sexualité, de l'appartenance ethnique ou du statut sérologique. Cependant, les progrès sont en péril.
Protéger la santé de chacun, protéger les droits de chacun
Déclaration de l'ONUSIDA à l'occasion du 75e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme
En amont de la Journée mondiale de lutte contre le sida, l’ONUSIDA appelle ardemment à Confier le leadership aux communautés pour mettre fin au sida
Un nouveau rapport de l’ONUSIDA met en lumière le rôle essentiel joué par les communautés, mais aussi la manière dont le sous-financement et les obstacles auxquels elles sont confrontées sapent leurs efforts pour sauver des vies et entravent les progrès pour mettre fin au sida.
Maurice : les Nations Unies saluent la décision de la Cour suprême de dépénaliser les relations sexuelles entre personnes du même sexe
Les Nations Unies à Maurice, représentées entre autres par l’ONUSIDA, l’UNFPA, le HCDH, le PNUD et l’OMS, saluent aujourd’hui la décision de la Cour suprême mauricienne qui a reconnu l’inconstitutionnalité d’une loi discriminatoire criminalisant les relations sexuelles consenties entre personnes du même sexe et qui l’a fait disparaître immédiatement du Code pénal. Auparavant, l’article 250 du Code pénal de l’île (qui remonte à 1898) prévoyait une peine d’emprisonnement maximale de cinq ans.