UNAIDS welcomes the decision of the South African Government to provide antiretroviral treatment on a national scale to people living with HIV in the country. The new South African national initiative will make that country’s fight against AIDS truly comprehensive, with treatment complementing prevention efforts. Its implementation will bring hope for millions of people living with HIV and their families.

UNAIDS today welcomed draft legislation introduced by the Canadian government that would amend the country’s patent laws to allow drug makers to manufacture and export lower-cost generic medicines to developing countries.

Harvard University, the World Economic Forum and UNAIDS hosted the first ever meeting of business, government and civil society in China discussing the potential role of partnerships to combat HIV/AIDS in China. Calling on all stakeholders to increase their efforts, the meeting highlighted the future economic impact of AIDS and its relevance to the business community.

At the opening of the 11th International Conference for People Living with HIV/AIDS, UNAIDS and WHO stressed that stigma and discrimination against people living with HIV/AIDS must be eradicated as a critical component of expanding access to treatment and care.

UNAIDS applauds today’s agreement between the Clinton Foundation and four generic pharmaceutical companies -- Aspen Pharmacare Holdings, Cipla, Ranbaxy Laboratories, and Matrix Laboratories -- to dramatically lower the price of HIV/AIDS treatment in the developing world. This builds on the Clinton Foundation’s work with the governments of several countries in Africa and the Caribbean to develop plans to strengthen their health care systems.

A consensus agreement on how to significantly scale up the global response to the millions of children orphaned and made vulnerable by AIDS marks critical progress, according to the heads of UNICEF and UNAIDS who were speaking at a high-level meeting involving key international partners working to address the complex and far-reaching impacts HIV/AIDS is having on millions of children and adolescents orphaned by the disease. Eight out of ten live in sub-Saharan Africa, adding to the millions of children orphaned due to conflicts and other causes. Donors, UN agencies and international non-governmental organizations participated in the two-day talks.

Nelson Mandela launched a worldwide music-led campaign, 46664, in London to raise awareness of HIV/AIDS in Africa, and to call on citizens around the world to pressure their governments to respond to AIDS as an international emergency.

On World Food Day, when attention is drawn to the more than 800 million hungry people across the globe, the Joint United Nations Programme on HIV/AIDS (UNAIDS) announced that the World Food Programme (WFP) has joined UNAIDS as a Cosponsor. Together with the eight existing Cosponsors, WFP will strengthen the UN’s response to the growing HIV/AIDS epidemic, which claimed over three million lives last year alone.

GENÈVE, 7 juin 2013 – Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) salue la récente annonce de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) concernant la préqualification, pour la première fois, d’un dispositif non chirurgical (PrePex™) pour la circoncision des hommes adultes à des fins de prévention du VIH.

Les preuves ne manquent pas pour confirmer que la circoncision masculine médicale réduit de 60 % la transmission du VIH de la femme à l’homme. L’OMS et l’ONUSIDA invitent instamment les pays où la prévalence du VIH est élevée et les taux de circoncision masculine faibles à élargir l’accès à une circoncision masculine médicale volontaire et sûre dans le cadre de leurs efforts de prévention du VIH.

Cependant, de nombreux pays ont des difficultés à promouvoir à grande échelle la circoncision masculine médicale volontaire pour prévenir le VIH en raison, notamment, de la pénurie de prestataires formés et spécialisés en chirurgie pour effectuer la procédure chirurgicale conventionnelle actuelle.

Comparé à cette procédure, le dispositif PrePex™ ne nécessite d’ordinaire pas d’injection d’anesthésique ou de points de suture, et son utilisation sans risque a été prouvée par des médecins et des prestataires de niveau intermédiaire dûment formés pouvant disposer d’une assistance chirurgicale en cas de besoin.

« Ce type d’innovation susceptible de contribuer à améliorer l’efficience, l’accès et la sécurité de la circoncision masculine médicale volontaire, et de favoriser à la fois une augmentation de sa demande, est tout à fait bienvenu » a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Si on l’utilise davantage, ce dispositif pourrait avoir un impact significatif sur les efforts de prévention du VIH dans des zones où la prévalence du virus est élevée et les niveaux de circoncision masculine faibles ».

Depuis le début des programmes de circoncision masculine médicale volontaire à des fins de prévention du VIH en 2007, on estime à 2 millions le nombre d’hommes ayant fait l’objet d’une circoncision en Afrique orientale et australe. L’ONUSIDA considère que la circoncision masculine médicale volontaire devrait permettre d’éviter environ une nouvelle infection à VIH sur cinq dans la région d’ici à 2025. Il faudra cependant élargir et intensifier considérablement les programmes pour optimiser l’impact de cette pratique sur la santé publique.

La circoncision masculine médicale fournit aux hommes une protection partielle contre la transmission lors de rapports hétérosexuels. L’OMS et l’ONUSIDA recommandent qu’elle soit sérieusement intégrée aux approches de prévention combinée de l’infection à VIH qui englobent une utilisation correcte et régulière des préservatifs masculins et féminins, une réduction du nombre de partenaires sexuels, la promotion de pratiques sexuelles à moindre risque – telles que les rapports sexuels sans pénétration, le traitement des infections sexuellement transmissibles et la fourniture d’un traitement antirétroviral aux personnes vivant avec le VIH admissibles à celui-ci.

GENÈVE, 21 mai 2013 — Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) est profondément attristé par la mort de Shivananda Khan, un militant de la lutte contre le sida, connu et respecté pour avoir inlassablement promu les droits des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et des personnes transgenres.

M. Khan, fondateur et directeur général de la Naz Foundation International basée à Londres et à Lucknow, a commencé à s'impliquer activement dans la lutte contre le sida au début des années 1990, après le décès des suites du sida d'un de ses amis proches. En reconnaissance de son travail en Asie et dans le monde entier en faveur des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et des personnes transgenres, il a reçu en 2005 la médaille de l'Ordre de l'Empire britannique.

« Le mouvement de lutte contre le sida a perdu un militant, majeur et passionné, contre le VIH et pour la défense des droits des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et des personnes transgenres », a affirmé Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. « Shiv représentait une source d'inspiration ainsi qu'un champion engagé aux yeux de toute la communauté qui lutte contre le VIH. Son absence laisse un grand vide. »

Pendant plus de vingt ans, M. Khan a mené une campagne pour attirer plus d'attention sur les défis que pose le VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les personnes transgenres, ainsi que les stratégies à mettre en place afin de remédier à ce problème. C'était un fervent partisan de la multiplication des organisations communautaires en Asie du Sud. M. Khan était la personnalité centrale du développement de la Coalition sur la santé sexuelle masculine en Asie-Pacifique (APCOM), dont il a été le président de 2009 à 2012.