Sexual transmission of HIV

Press Release
Le M∙A∙C AIDS Fund, Rihanna et l’ONUSIDA s’unissent pour fournir un traitement vital contre le VIH à près de 2 millions de jeunes qui en ont besoin
30 janvier 2014 30 janvier 2014Une action soutenue par la célèbre chanteuse afin d’aider, grâce à une subvention de 2 millions de dollars, au développement de l’initiative Traitement 2015 de l’ONUSIDA visant à fournir des traitements et des soins en rapport avec le VIH aux adolescents et aux jeunes dans le monde
GENÈVE/NEW YORK, 30 janvier 2014 – Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) a annoncé aujourd’hui le développement de son initiative Traitement 2015 grâce à une subvention de 2 millions de dollars US fournie par « le cœur et l’âme » de M∙A∙CCosmetics, le M∙A∙C AIDS Fund. Ce Fonds est totalement financé par les ventes des rouges à lèvres et de gloss de marque VIVA GLAM à la promotion desquelles la superstar mondiale Rihanna prête sa célébrité. S’appuyant sur ce nouveau financement, l’ONUSIDA développera l’initiative Traitement 2015 en faisant progresser les politiques et les programmes aux niveaux mondial, régional et national afin de promouvoir le test de dépistage et le traitement contre le VIH auprès des jeunes à travers le monde.
« Cela fait longtemps que M∙A∙CCosmetics utilise les atouts de stars pour motiver ses clients et avoir un impact sur cette cause majeure. Avec les ressources de l’ONUSIDA, une réflexion stratégique et le soutien passionné de Rihanna, nous aidons à sauver des vies – tube de rouge à lèvres par tube de rouge à lèvres ! » a déclaré John Demsey, Président du groupe Estée Lauder.
Dans le monde, on estime à 5,4 millions1 le nombre d’adolescents et de jeunes vivant avec le VIH et à 1,8 million1 le nombre de ceux qui sont admissibles au traitement contre le virus. Des millions de jeunes séropositifs ne savent pas qu’ils sont porteurs du VIH et 2 100 adolescents et jeunes1 environ sont nouvellement infectés chaque jour, ce qui représente 39 % de l’ensemble des nouvelles infections à VIH mondiales parmi les adultes. Bien que le traitement antirétroviral ait entraîné une diminution des décès liés au sida, les modèles suggèrent que les adolescents de 10 à 19 ans sont le seul groupe d’âge dans lequel les décès liés au sida ont augmenté entre 2001 et 2012. Cette évolution des décès liés au sida peut être imputée à la faible priorité accordée aux adolescents au sein des plans stratégiques de mise à grande échelle du traitement contre le VIH et au manque de services de test et de conseil.
« Les jeunes sont ceux qui nous conduiront vers une génération sans sida. Faire le nécessaire pour que les adolescents et les jeunes aient accès aux services de prise en charge du VIH permet non seulement de sauver des vies, mais aussi d’investir dans une meilleure santé future pour les générations à venir » a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Nous sommes réellement très fiers de travailler avec le M∙A∙CAIDS Fund pour aider les jeunes à avoir un accès plus précoce au test de dépistage et au traitement contre le VIH à travers le monde ».
L’initiative Traitement 2015 de l’ONUSIDA a vise à fournir un traitement contre le VIH à 15 millions d’adultes et de jeunes à l’horizon 2015. La subvention de 2 millions de dollars US du M∙A∙CAIDS Fund soutiendra un élargissement des efforts pour s’assurer que les adolescents et les jeunes aient accès au traitement et aux soins en rapport avec le VIH au niveau international. Les nouvelles activités de sensibilisation de la jeunesse incluront une évaluation des programmes de dépistage et de traitement des jeunes ainsi qu’une adaptation des directives de traitement pour les adolescents et les jeunes.
« Nous avons les moyens de mettre fin à l’épidémie de sida, mais nous ne pourrons y parvenir sans développer l’accès au traitement pour nous assurer que les groupes les plus défavorisés et vulnérables, en particulier les jeunes, ne soient pas laissés pour compte » a déclaré Nancy Mahon, Directrice exécutive mondiale du M∙A∙CAIDS Fund. « C’est pour cela que le M∙A∙CAIDS Fund entend continuer d’investir dans des initiatives stratégiques et efficaces, telles que le Traitement 2015 de l’ONUSIDA, qui œuvrent en vue de mettre un terme définitif au sida ».
La subvention a pu être versée à l’ONUSIDA uniquement grâce aux ventes des rouges à lèvres et des gloss de la marque VIVA GLAM de M A C – qui fait don de la totalité de ces recettes à la lutte contre le VIH. Rihanna, nouvelle ambassadrice de la marque VIVA GLAM de M∙A∙C, a récemment lancé sa nouvelle collection VIVA GLAM, dont les ventes aideront des organisations telles que l’ONUSIDA à soutenir les hommes, les femmes et les enfants affectés par le VIH à travers le monde.
« C’est un très grand honneur d’unir mes forces à celles du M∙A∙C AIDS Fund et de l’ONUSIDA dans la lutte contre le sida » a déclaré la chanteuse Rihanna. « Je souhaite aider à toucher autant de jeunes que possible à travers le monde. Bien que l’éducation soit une priorité, il faut aussi fournir des services de dépistage et de traitement du VIH à des millions de jeunes qui ont besoin de notre aide, et c’est exactement ce que nous prévoyons de faire ».
L’ONUSIDA a commencé à déployer son initiative Traitement 2015 à travers le monde. Pour plus d’information sur les plans de l’ONUSIDA concernant la fourniture d’un traitement à 15 millions de personnes d’ici à 2015, téléchargez le rapport de l’ONUSIDA Traitement 2015.
1Estimations ONUSIDA 2012
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Press Statement
L’ONUSIDA exhorte l’Inde et tous les pays à abroger les lois criminalisant les rapports sexuels entre adultes consentants de même sexe
12 décembre 2013 12 décembre 2013GENÈVE/NEW DELHI, 12 décembre 2013 – L’ONUSIDA est très préoccupé par le fait qu’en rendant récemment sa décision sur la constitutionalité de l’article 377 du Code pénal indien, la Cour Suprême d’Inde a recriminalisé les rapports sexuels entre adultes consentants de même sexe. En 2009, la Haute Cour de Delhi avait déclaré inconstitutionnelle l’application de la loi vieille de 150 ans criminalisant « les rapports charnels contre nature » entre adultes consentants. Aujourd’hui, les gays et les autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les lesbiennes, les bisexuel(le)s et les transgenres risquent de nouveau des poursuites pénales en Inde.
« La décision de la Haute Cour de Delhi de 2009 avait restauré la dignité pour des millions de personnes en Inde et constituait un exemple du type de réforme dont nous avons besoin pour créer des environnements juridiques porteurs nécessaires pour que les ripostes nationales au sida soient efficaces » a déclaré Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA. « Nous voulons que le gouvernement et la société civile puissent fournir des informations et des services de prise en charge du VIH à tous, y compris aux gays et aux autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, aux lesbiennes, aux bisexuel(le)s et aux transgenres, et que ceux-ci puissent avoir accès aux services sans craindre d’être criminalisés ».
La décision de 2009 de la Haute Cour de Delhi annulant la loi a été largement considérée comme une avancée majeure contre l’homophobie et en direction d’une éradication de la discrimination liée au VIH. Au cours des quatre dernières années qui ont suivi l’annulation de la loi, le nombre de sites fournissant des services de prise en charge du VIH pour les gays, les autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les transgenres a augmenté de plus de 50 % en Inde.
Pour protéger la santé publique et les droits humains, l’ONUSIDA invite l’Inde et tous les États à abroger les lois criminalisant les rapports sexuels entre adultes consentants de même sexe. Cette criminalisation fait obstacle aux ripostes au VIH à travers le monde et ces lois violent non seulement les droits humains, mais rendent aussi plus difficile la fourniture de services de prévention et de traitement du VIH à une population particulièrement touchée par le virus. Au niveau mondial, la probabilité que les gays et les autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes soient séropositifs au VIH est en moyenne 13 fois plus élevée que pour le reste de la population.
L’ONUSIDA exhorte tous les gouvernements à protéger les droits humains des gays et des autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, des lesbiennes, des bisexuel(le)s et des transgenres en abrogeant les lois pénales qui criminalisent les rapports sexuels entre adultes consentants de même sexe, en mettant en œuvre des lois qui les protègent de la violence et de la discrimination, en promouvant des campagnes de lutte contre l’homophobie et la transphobie, et en assurant la fourniture de services de santé appropriés pour répondre à leurs besoins.
Dans la Déclaration de politique sur le VIH/sida des Nations Unies de 2011, tous les États Membres de l’ONU se sont engagés à supprimer les obstacles juridiques et à voter des lois pour protéger les populations vulnérables.
ONUSIDA
Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) guide et mobilise la communauté internationale en vue de concrétiser sa vision commune : « Zéro nouvelle infection à VIH. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida. » L’ONUSIDA conjugue les efforts de 11 institutions des Nations Unies – le HCR, l’UNICEF, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’UNODC, ONU Femmes, l’OIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Il collabore étroitement avec des partenaires mondiaux et nationaux pour que la riposte au sida donne les meilleurs résultats possibles. Pour en savoir plus, consultez le site unaids.org, et suivez nous sur Facebook et Twitter.
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Vies secrètes, autres voix : une étude sur la sexualité, l'identité de genre et le risque de transmission du VIH dans les îles Fidji
28 août 2011
28 août 2011 28 août 2011
Ratu Epeli Nailitikau, président des îles Fidji, lit le rapport Vies secrètes, autres voix.
Photo : ONUSIDA/Kim
Une nouvelle étude intitulée Vie secrètes, autres voix a été présentée à l'occasion du 10e congrès international sur le sida dans la région de l'Asie et du Pacifique . Elle porte sur la sexualité, l'identité de genre et le risque de transmission du VIH dans les îles Fidji et constitue la première recherche de ce type réalisée depuis 1998 parmi les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes et les personnes transsexuelles dans ce pays.
M. Ratu Epeli Nailitikau, président des îles Fidji, était présent pour l'occasion.
Avec plus de 200 participants, le projet d'étude a impliqué des membres du personnel et des volontaires du Groupe de travail sur le sida du projet Amithi pour les îles Fidji (AIDS Task Force of Fiji's Amithi Project) et du Conseil sur le sida de la Nouvelle-galles du Sud (AIDS Council of New South Wales).
Destinée à donner des informations sur la riposte au VIH et sur le développement des activités à assise communautaire, la recherche a été conduite par des membres de la communauté. Le personnel de recherche a intégré des hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes et des personnes transsexuelles aux contextes sociaux et éthiques très divers, qui ont pris part à toutes les étapes du processus dont la planification, la collecte des données, l'analyse et l'établissement de rapports.
Cette étude a fait apparaître que les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes sont très exposés au risque d'infection par le VIH aux îles Fidji. Seuls 21,6 % des répondants ont déclaré avoir toujours utilisé un préservatif lors de rapports sexuels anaux avec un partenaire homme ou transsexuel au cours des six derniers mois. Plus d'un sur cinq ont signalé ne jamais en utiliser.
Bien que le niveau des connaissances sur le HIV soit bon, puisque plus de 66 % des personnes interrogées ont répondu correctement aux questions relatives à la transmission, ces connaissances ne sont pas appliquées dans la pratique.
Ce rapport a également analysé les transactions sexuelles et a révélé que deux tiers des participants ont déclaré donner ou recevoir de l'argent, des cadeaux ou des faveurs en échange de rapports sexuels, ce qui en fait une pratique courante.
Parmi les personnes interrogées, seules 10 % avaient effectué un test de dépistage du VIH au cours des 12 mois précédents et en connaissaient la réponse. Les obstacles déclarés à la réalisation de ce test englobent des aspects de confidentialité et d'intimité, et les participants ont aussi mentionné l'attitude critique du personnel travaillant dans les cliniques.
De nombreux participants à l'étude avaient été confrontés à une forme ou une autre de stigmatisation et de discrimination. Environ les deux tiers ne se sentaient pas en sécurité, ni suffisamment à l'aise pour exprimer ouvertement leur sexualité ou leur genre. Près de 57 % ont signalé avoir subi des agressions verbales et un tiers avoir été blessé physiquement au cours des six mois précédents.
Avec le soutien technique du PNUD et de l'ACON, nous avons pu démontrer que la société civile est capable de mener à bien des projets de recherche poussés de très bonne qualité
Niraj Singh, co-auteur de Vies secrètes, autres voix
Le rapport recommande que les interventions en matière de prévention du VIH et de santé soient appropriées du point de vie culturel et axées vers les différents groupes de la communauté des hommes ayant des rapports avec des hommes et des personnes transsexuelles, la plupart s'identifiant eux-mêmes de façon différente. L'accès à un test de dépistage du VIH plus humain devrait être intensifié et les professionnels de santé devraient suivre des formations pour mieux répondre aux besoins des hommes ayant des rapports avec des hommes et des personnes transsexuelles, selon les auteurs.
En outre, le rapport recommande un effort concerté pour lutter contre la stigmatisation et la discrimination et augmenter les services psychosociaux et de soutien. Les hommes qui ont des rapports avec des hommes et les personnes transsexuelles sont aussi encouragés à développer des compétences de mobilisation, pour faire entendre leurs voix.
« Avec le soutien technique du PNUD et de l'ACON, nous avons pu démontrer que la société civile est capable de mener à bien des projets de recherche poussés de très bonne qualité », a déclaré Niraj Singh, chef de projet au sein du Groupe de travail sur le sida pour les îles Fidji et co-auteur du rapport.
« Le Groupe de travail sur le sida pour les îles Fidji a une vision très claire des priorités à mettre en œuvre pour transposer la recherche en actions concrètes. Nous disposons désormais d'une ligne de conduite qui nous permettra de concevoir et de mettre en place des programmes efficaces qui sauront répondre aux besoins d'une population très diversifiée d'hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes et de personnes transsexuelles aux îles Fidji. Cette étude constitue une contribution précieuse aux efforts nationaux et régionaux actuels visant à garantir que ces communautés sont mieux aidées et mieux protégées », a-t-il conclu.
Le projet Vies secrètes, autres voix a été financé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
Liens externes
Liens externes
- ICAAP10 (en anglais)
- AIDS Council of New South Wales (en anglais)
Publications
Publications
- Vies secrètes, autres voix (en anglais)
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Pourquoi les principales populations affectées doivent agir et être au cœur des ripostes au VIH dans la région Asie-Pacifique : l’exemple de la Fondation SWING
17 février 2011
17 février 2011 17 février 2011
Un des bénévoles de la Fondation SWING qui diffusaient des messages de prévention du VIH et pour une sexualité sans risque pendant la nuit de la Saint-Valentin à Bangkok. Crédit : ONUSIDA
Talons hauts, vêtements à paillettes et musique rythmée, tels sont les attributs de la rue Soi Cowboy de Bangkok. Pour beaucoup, cette soirée ressemble à toutes les autres dans une des zones les plus chaudes de la ville. Mais un regard un peu attentif au défilé de mode suffit pour réaliser qu’il n’en est rien ; les tenues très élaborées, entièrement constituées de préservatifs, s’inscrivent dans une campagne de prévention du VIH menée à l’occasion de la Saint-Valentin par la Fondation SWING (Service Workers In Group), une organisation non gouvernementale thaïlandaise
Brandissant des banderoles barrées de slogans pour la prévention du VIH, les bénévoles de la Fondation SWING distribuent des préservatifs et des brochures d’information. Ce type de campagne ciblée n’est qu’un des aspects du travail de SWING auprès des hommes, des femmes et des personnes transsexuelles composant les « professionnels des services », expression que SWING préfère à celle de professionnel(le)s du sexe.
Basée dans les quartiers chauds de Bangkok, Pattaya et Ko Samui, la Fondation SWING offre des possibilités éducatives à ces populations, notamment des cours d’anglais et des formations professionnelles. Elle met aussi à leur disposition un centre d’accueil où il est possible de faire une pause, de se restaurer, de surfer sur Internet, de se préparer pour la soirée et de participer à des jeux et des sessions d’information liés au VIH.
« Nos activités aident ces professionnels à augmenter leur confiance en eux et leur donne des possibilités de développer leur potentiel individuel », explique Surang Janyam qui a co-fondé SWING en 2004. « Beaucoup de ces personnes ont du mal à croire que l’on puisse les soutenir et craignent la discrimination. SWING leur offre un espace sûr et des opportunités », poursuit-elle.
Forte de son succès en Thaïlande, SWING est perçue au-delà des frontières de ce pays comme un modèle pour les programmes proposant des services liés au VIH là où les besoins sont les plus criants. Sa réussite tient en partie au fait que la fondation est gérée et exploitée presque exclusivement par des professionnel(le)s du sexe qui exercent encore ou qui ont arrêté leur activité.
Dans la région Asie-Pacifique, il est urgent d’intensifier les programmes axés sur les populations les plus exposées au VIH, planifiés et mis en œuvre par les communautés concernées.
Selon les dernières données disponibles, la plupart des épidémies dans la région restent concentrées parmi les consommateurs de drogues injectables, les professionnel(le)s du sexe et les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Plusieurs pays présentent des signes de taux accrus d’infection à VIH au sein des principales populations affectées. Les données de divers pays de la région sur la couverture de la prévention du VIH, lorsqu’elles sont disponibles, suggèrent que moins de la moitié — et dans certains cas un tiers seulement — de ces populations ont bénéficié de services de prévention.
Dans la région Asie-Pacifique, nous savons qu’il faut ancrer les ripostes au VIH dans les principales populations affectées si nous voulons conserver les acquis et progresser.
Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA
« Dans la région Asie-Pacifique, nous savons qu’il faut ancrer les ripostes au VIH dans les principales populations affectées si nous voulons conserver les acquis et progresser », a déclaré Michel Sidibé, le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, invité spécial de l’événement organisé par SWING à l’occasion de la Saint-Valentin. « Nous devons susciter l’engagement et l’action pour que des programmes comme SWING en inspirent d’autres et se multiplient dans la région », a poursuivi M. Sidibé.
Dans Soi Cowboy le soir de la Saint-Valentin, le message est très clair : Rien nous concernant ne se fera sans nous. « Nous nous soucions de vous ! », criait dans son mégaphone Khun Tee, cofondateur de SWING, tandis que ses collègues défilaient dans leurs combinaisons colorées à base de préservatifs. « Le VIH est une réalité — s’il vous plaît, utilisez un préservatif chaque fois que vous avez un rapport sexuel ! »
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L'ONUSIDA lance au Gouverneur de Bangkok un vibrant appel à prendre les devants en vue de la réalisation de l’objectif "zéro nouvelle infection"
17 février 2011
17 février 2011 17 février 2011
Le Directeur Général de l'ONUSIDA Michel Sidibé (à gauche) a rencontré M.R. Sukhumbhand Paribatra, Gouverneur de Bangkok, le 16 février à l'hôtel de ville de Bangkok. Crédit : ONUSIDA/V. Dithajohn
Au cours de la mission officielle effectuée cette semaine en Thaïlande, le Directeur Général de l'ONUSIDA Michel Sidibé s'est entretenu avec M.R. Sukhumbhand Paribatra, Gouverneur de Bangkok, sur les progrès, les défis et les opportunités de la riposte au SIDA dans la capitale thaïlandaise. Durant la rencontre qui a réuni les deux hommes, M. Sidibé a sollicité un soutien accru afin de contribuer à faire de Bangkok la première ville à atteindre l'objectif "zéro nouvelle infection au VIH."
Reconnaissant les défis spécifiques auxquels font face certaines mégalopoles Asiatiques - où les taux de nouvelles infections au VIH parmi certaines populations cibles, dont les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes, restent élevés, et où les migrations sont une réalité quotidienne complexe - M. Sidibé a instamment appelé le Gouverneur à jouer un rôle actif au cours de la Réunion de Haut Niveau de l'Assemblée Générale de l'ONU sur le SIDA prévue en juin 2011 aux côtés d'autres officiels de haut rang qui viendront de diverses mégalopoles à travers le monde. "L’occasion sera parfaite pour la ville de Bangkok de dire au monde qu’elle s'engage envers l'atteinte de l'objectif zéro," a déclaré M. Sidibé.
"L’occasion sera parfaite pour la ville de Bangkok de dire au monde qu’elle s'engage envers l'atteinte de l'objectif zéro"
Michel Sidibé, Directeur Général de l'ONUSIDA
Au cours de ses entretiens avec M. Sidibé, le Gouverneur Paribatra a dit qu'il est essentiel de se focaliser sur les populations marginalisées, en particulier les migrants, pour riposter efficacement au SIDA à Bangkok. Tout en soulignant la complexité des approches spécifiques aux villes à adopter par rapport à l'épidémie du VIH, il a souligné son intention de relever le défi de l’objectif "zéro nouvelle infection au VIH" dans la capitale thaïlandaise. Le Gouverneur Paribatra a manifesté son intérêt pour la participation à la Réunion de Haut Niveau en juin, et aussi pour l’organisation d'une réunion "objectif zéro" de responsables de différentes autres mégalopoles dans la région pendant son mandat.
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Une Révolution préventive
09 novembre 2010
09 novembre 2010 09 novembre 2010
Ce film est le troisième d’entre les cinq films diffusés dans le cadre de l’initiative de media sociaux « #PreventionRevolution » que l’ONUSIDA montrera en amont de la Journée mondiale du sida 2010.
L’objectif est d’inspirer et d’encourager le public à utiliser les media sociaux pour en savoir plus sur la prévention du VIH. Le but collectif est que le hashtag #PreventionRevolution soit partagé autant que possible le 1er décembre 2010.
Ces deux dernières semaines, les conversations ont tourné autour de la nécessité d’une révolution préventive contre le VIH et autour des programmes de promotion des préservatifs, sous des titres de messages clefs tels que « 80 % de la transmission du VIH est sexuelle » et « Chaque jour, plus de 7 000 personnes sont infectées par le VIH. »
Il en a résulté le rapprochement entre les tweeters, tels que @UN, @MTVStayingAlive, @Oxfam et @AnnieLennox.
Mais surtout, la conversation a retenu l’attention d’utilisateurs de Twitter ayant tous des parcours différents ; tous ont tweeté en même temps au sujet de la Révolution préventive, sur au moins cinq continents !
Les utilisateurs de Twitter ont partagé des histoires personnelles, lancé des appels à l’action au niveau local et les tweets semblent partager des informations dont les utilisateurs ne bénéficiaient pas auparavant. Par exemple :
@LoganLevkoff, a tweeté : « Inacceptable », en réponse au fait que seul un jeune sur trois sait comment se transmet le VIH.
@0newinfections, une utilisatrice de Twitter vivant avec le VIH, a encouragé ses followers à participer à la conversation :
« Je me demande souvent combien de temps je vais vivre. Je suis devenue séropositive à 25 ans. Peut-être encore 10 ou 20 ans de plus ? Participez à la #PreventionRevolution”
Les utilisateurs ont aussi conçu un nouveau mot sur Twitter, « edutweet », qui vient des mots Education et Tweet, représentant ce que l’initiative essaye de mettre en place.
La discussion cette semaine sera lancée autour du film animé Light, intégré plus haut. Suivez la conversation sur Twitter ici et en visitant l’ONUSIDA sur facebook
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Plus qu’un jeu : le football pour promouvoir les questions de santé en Ouganda
30 septembre 2010
30 septembre 2010 30 septembre 2010Une version de cette histoire a d’abord été publiée sur www.unfpa.org (en anglais)

Le tournoi de football parrainé par le FNUAP a permis d’attirer l’attention des jeunes dans le nord de l’Ouganda. Photo : Stijn Aelbers/FNUAP Ouganda
Bien que les hostilités dans le nord de l’Ouganda aient cessé en 2006, la vie des jeunes, qui étaient cibles d’enlèvement par l’armée de résistance du Seigneur, n’a pas été facile. Pendant le conflit qui a duré plus de 20 ans, beaucoup d’enfants passèrent leurs premières années enfermés dans des camps pour personnes déplacées, tandis que d’autres étaient exposés au trauma, à la brutalité et à la souffrance des enfants-soldats.
Cette instabilité prolongée a eu des conséquences néfastes sur les systèmes de santé et de soutien social : les indicateurs de santé procréative dans la sous-région sont parmi les plus bas dans le pays et la violence sexuelle est courante.
Tandis que la majorité des jeunes – qui représentent 56 % de la population ougandaise – vivent dans la pauvreté, avec peu de possibilités d'instruction et d'emploi, le football est une des activités qui les passionnent et leur permet d'oublier leurs soucis. Florence, 23 ans, joueuse d’une équipe du district de Gulu a déclaré, « si nous venons jouer au foot, nous oublions les problèmes à la maison. C’est comme un contrôle du stress. »
Au tournoi de football d’Acholi, qui s’est tenu dans cinq districts et était soutenu par le FNUAP, Fonds des Nations Unies pour la population, le but dépassait la relaxation des jeunes. Il avait aussi comme objectif de réduire la grossesse des adolescentes et la violence basée sur le sexe, deux des problèmes les plus graves dans la région.
Les arbitres, coachs et capitaines d'équipes participèrent à des séances d'entraînement sur ces problèmes et devinrent une ressource pour renseignements, discussions et guidage. Les séances de dialogues ultérieures atteignirent quelque 1 200 joueurs.
Des fonctionnaires locaux récompensèrent les équipes gagnantes par des uniformes qui disaient, « Say no to GBV (gender-based violence) and teenage pregnancy. » Des agents sanitaires étaient aussi là pour répondre aux questions et donner des conseils de santé. Sur deux jours, plus de 10 000 préservatifs, la plupart donnés par le FNUAP, ont été distribués par des agents sanitaires et des conseillers pairs ainsi que des représentants de l’association Boda Boda qui emploie de nombreux jeunes hommes comme conducteurs de taxi-motos.
Plus de 800 personnes, surtout de jeunes hommes, ont profité des services gratuits de dépistage et de conseil qui étaient offerts pour leur permettre de connaître leur statut sérologique.
Les femmes n’ont pas manqué à l’appel, bien que beaucoup aient moins d’expérience que les hommes, les spectateurs ont dit que le bruit généré par les matchs féminins démontrait leur popularité croissante et une nouvelle vue des rôles de genre.
Une joueuse de l’équipe de Lalogi a déclaré avoir rencontré des attitudes négatives. (Voir comment celles-ci sont abordées dans un nouveau jeu.) Rose, âgée de 20 ans, a toutefois affirmé que son mari la soutenait. « Il est content que je joue. Je pense qu’il est en train de nous regarder aujourd’hui, » cria-t-elle en se retournant tandis qu'elle courait pour donner le coup d'envoi.
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Mobilité, migration et vulnérabilité au VIH dans les ports de la Mer Rouge et du golfe d’Aden
28 septembre 2010
28 septembre 2010 28 septembre 2010
S.E. Ismail Omar Guelleh, président de la République de Djibouti avec M. Michel Sidibé, directeur exécutif de l'ONUSIDA. Crédit : ONUSIDA/P.Virot
Chaque année, plus de 200 millions de personnes se déplacent. L’ONU estime que 20 à 30 millions d’entre eux sont des immigrants en situation irrégulière et que les guerres et conflits ont provoqué le déplacement de 16 millions de réfugiés.
De nombreux pays le long de la Mer Rouge et du golfe d'Aden sont touchés par une pauvreté intense et des conflits internes violents. Le résultat en est de nombreux immigrants vivant dans les ports et à proximité de ceux-ci. Il existe aussi une grande communauté de populations mobiles, y compris conducteurs de camion, dockers, personnel de sécurité, équipages de bateaux et professionnels du sexe qui peuvent être plus exposés au risque d’infection par le VIH.
La pauvreté, l’exclusion sociale, la séparation des familles et communautés, la solitude, la peur et la marginalisation peuvent rendre ces populations mobiles et migrantes particulièrement vulnérables à l'infection par le VIH. La situation peut aussi être aggravée par le manque d’accès à la prévention du VIH, au traitement et aux services de soin.
«Il est essentiel que les populations mobiles et migrantes qui vivent et transitent dans les ports aient accès aux services de soins contre le VIH et soient incluses dans les plans nationaux de traitement du VIH,» a déclaré Michel Sidibé, directeur exécutif du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA). «Réaliser les objectifs d’accès universel signifie qu‘il faut s’assurer que tous les secteurs de la société sont atteints, plus particulièrement les personnes les plus vulnérables à l’infection.»
Le gouvernement de Djibouti, en collaboration étroite avec l’ONUSIDA, l’Organisation internationale de migration, l’Autorité intergouvernementale sur le développement (IGAD) et d’autres partenaires, a convoqué une réunion du 26 au 29 septembre qui a rassemblé des dirigeants des pays de la Mer Rouge et d’autres pays africains pour aborder le problème des populations clés qui sont exposées à un risque plus élevé d'infection par le VIH, le long de la Mer Rouge et dans les ports du golfe d'Aden.
«Pour nous, cette conférence a été très instructive, nous avons appris beaucoup des experts, mais surtout des personnes vivant avec le VIH qui sont venues nous raconter leurs histoires,» a dit son excellence Abdallah Abdillihi Miguel, ministre de la Santé de Djibouti. «Cette réunion a renforcé ma conviction que nous devons continuer à travailler pour un accès universel à la prévention du VIH, le traitement, les soins et le soutien, et assurer que chacun qui en a besoin, même les plus marginalisés et vulnérables, ait accès à ces services.»
Les experts et dirigeants ont convenu de prendre des actions concrètes pour renforcer la promotion et le leadership sur le VIH et la mobilité; intégrer le VIH et la mobilité dans les plans stratégiques nationaux; assurer une meilleure planification; améliorer la capacité de la société civile et les partenariats avec le secteur privé; et élaborer une stratégie de communication commune avec une attention particulière aux droits de la personne.
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Des jeunes commentent les nouvelles données de l'ONUSIDA
22 juillet 2010
22 juillet 2010 22 juillet 2010
Dr Peter Ghys, Chief of Epidemiology and Analysis Division UNAIDS, presented the findings of the new analysis together with the Vienna Youth Force at the International AIDS Conference. Credit: UNAIDS/Anne Rauchenberger
Partout dans le monde, le comportement des jeunes évolue, en particulier dans certaines régions d'Afrique subsaharienne. Ces jeunes deviennent sexuellement actifs plus tardivement, ont moins de partenaires multiples, et ceux qui en ont plusieurs recourent de plus en plus au préservatif. Résultat, la prévalence du VIH au sein de cette population baisse dans de nombreux pays clés, selon une nouvelle analyse de l'ONUSIDA.
Le docteur Peter Ghys, Chef de la division Epidémiologie et Analyse de l'ONUSIDA, a présenté ces conclusions aujourd'hui, avec la Vienna Youth Force, lors de la Conférence internationale sur le sida.
L'étude rend compte d'une tendance à la baisse de la prévalence du VIH dans 16 pays, chez les jeunes de 15 à 24 ans, et avance que ce déclin est largement imputable à la chute des nouvelles infections à VIH dans cette tranche d'âge. Dans 15 des 21 pays du monde les plus touchés par le VIH, une diminution de 25 % du taux de prévalence a été constatée.
Pour le docteur Ghys, la tendance constatée concernant la prévalence du VIH reflète la tendance en matière de comportement sexuel.
« L'ONUSIDA appelle les pays à mettre en œuvre un ensemble complet de programmes en vue de réduire le risque chez les jeunes ; en outre, ces derniers peuvent et doivent être des acteurs des changements », a ajouté le docteur Ghys.
Des jeunes engagés dans la riposte au sida dans les pays où le VIH est en déclin ont été invités à commenter les nouvelles conclusions.
Pour Kuena Diaho, de l'Alliance mondiale des unions chrétiennes féminines (YWCA) au Lesotho, il faut concevoir les programmes ciblant les jeunes afin qu'ils ne soient pas trop pesants. « Le Lesotho a opté pour une approche ludoéducative ; la prévention du VIH se fait au travers de la poésie et du sport. Ainsi, le message passe plus facilement », précise Kuena Diaho.
« Nous sommes un vaste réseau d'organisations de jeunes femmes. Nous utilisons Facebook pour partager des informations et nous organisons des rencontres pour parler d'éducation à la santé sexuelle et reproductive », explique Yvonne Akotho qui fait partie d'une association de scoutisme féminin au Kenya.
Remmy Shawa, jeune titulaire d'une bourse de l'ONUSIDA originaire de Zambie, souligne que ces nouveaux faits devraient être utilisés en tant qu'outil de plaidoyer pour montrer aux dirigeants les résultats obtenus lorsque les jeunes sont placés au centre de la riposte au sida.
Le docteur Ghys a conclu la session en faisant remarquer que ces résultats encourageants constituaient un retour sur investissement précoce des efforts consentis en matière de prévention du VIH. « Il faut poursuivre ces investissements et intensifier les programmes qui s'adressent aux jeunes et les impliquent », a ajouté le docteur Ghys.
Right Hand Content
Conférence sur le sida 2010, Vienne
Publications
Rapport OUTLOOK 2010 de l'ONUSIDA(pdf, 6 Mb)
Cadre de résultats de l'ONUSIDA 2009-2011 (pdf, 437 Kb)

Feature Story
Coupe du monde et sexualité
08 juin 2010
08 juin 2010 08 juin 2010
La Coupe du monde de football s’apprête à débuter vendredi prochain. Des milliers de supporters se rendront en Afrique du Sud pour soutenir leurs équipes favorites.
La sensibilisation et la prévention contre le VIH constituent une priorité de premier plan lors de ce tournoi. Le VIH peut en effet se propager par une combinaison dangereuse alliant l’alcool et une sexualité risquée, en particulier parmi les jeunes.
Étant donné que le virus peut progresser lorsque la sexualité ne bénéficie pas de toutes les protections, les préservatifs sont souvent considérés comme utiles contre l’infection. Les préservatifs masculins et féminins sont envisagés comme des produits efficaces pour réduire la transmission par voie sexuelle du VIH et des infections sexuellement transmissibles.
Pour réduire le risque de transmission du VIH, les partisans du préservatif comptent multiplier les points de distribution. Les campagnes qu’ils ont précédemment menées avaient abouti à la mise à disposition de préservatifs gratuits sur les lieux des matches, dans les hôtels, les stades, les bars et les clubs. Un fan a dit un jour : « Il vaut mieux que ce soit moi qui ai ce préservatif plutôt qu’il soit disponible à la distribution ».
L’ensemble des mesures de prévention visant à réduire la transmission du VIH par voie sexuelle comprennent en outre le respect de l’âge propice à l’initiation sexuelle, l’abstinence, la fidélité mutuelle lorsqu’aucune des deux personnes n’est infectée, et la réduction du nombre des partenaires sexuels.
L’ONUSIDA a approuvé l’engagement pris par le gouvernement sud-africain de distribuer un million de préservatifs lors de la Coupe du monde. Il soutient les efforts menés par le Conseil national d’Afrique du Sud sur le sida (SANAC) et les associations de la société civile comme la Campagne d’action pour les traitements (TAC) et le Consortium sur le sida, lesquelles favorisent la distribution de préservatifs et la diffusion d’informations sur le VIH durant le tournoi.
Chaque jour, 7 400 personnes sont infectées par le VIH dans le monde. En Afrique du Sud, pays-hôte de la Coupe du monde cette année, on compte 5,7 millions de personnes vivant avec le VIH – soit le plus fort taux de prévalence au monde.
Les jeunes et le VIH en quelques faits:
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Reportages:
Avant la Coupe du monde, les capitaines des différentes équipes nationales lancent un appel commun : « Tous ensemble, donnons un carton rouge au sida. » (7 Juin 2010)
Danny Jordaan et le Directeur exécutif de l’ONUSIDA évoquent la portée mondiale de la lutte contre le sida lors de la Coupe du monde FIFA de 2010 en Afrique du Sud (4 décembre 2009)
Publications:
Appel à la mobilisation dans le cadre de la Coupe du monde en vue d’éradiquer la mortalité des mères et l’infection des bébés au VIH (pdf, 357 Kb.) (en anglais)