Men who have sex with men








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UNAIDS and Global Fund's Executive Directors joint visit to Malawi
In a joint official visit to Malawi, the Executive Directors of UNAIDS and the Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria commended President Bingu wa Mutharika on Malawi’s progress in the AIDS response and his leadership as Chairperson of the African Union on AIDS, health, food security and development.
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Take the rights path to end AIDS — World AIDS Day report 2024
26 novembre 2024
UNAIDS calls for global solidarity to strengthen Madagascar’s HIV response to end AIDS as a public health threat
21 octobre 2024
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UNAIDS Executive Director visits Lebanon
UNAIDS Executive Director Michel Sidibé concluded an official visit to Lebanon on 29 September. Mr Sidibé recognized and supported the country’s achievements in the HIV response and welcomed the Government of Lebanon’s strong commitment to introduce oral substitution therapy into the country’s public health system.
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UNAIDS Executive Director attends the TEDDY Award to highlight this year’s theme of homophobia, human rights and AIDS
UNAIDS Executive Director Mr Michel Sidibé addressed the audience of the 23rd TEDDY Award in Berlin on 13 February with a strong message: universal access to HIV prevention, treatment, care and support must be accessible to all people who are in need—including men who have sex with men and other populations most-at-risk of HIV infection.
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Global Forum on MSM and HIV
“The Invisible Men: Gay Men and other MSM in the Global HIV/AIDS Epidemic”, was hosted by Global Forum on men who have sex with men (MSM) and HIV on 1-2 August in Mexico City.
The two day forum focused on coordinating a response to the large gaps in funding and services that currently exist for MSM living with and at risk for HIV and call for a scale up HIV funding and human rights protections for men who have sex with men. UNAIDS Executive Director Dr Peter Piot addressed the forum.
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Press Statement
Journée internationale contre l'homophobie et la transphobie
14 mai 2014 14 mai 2014Message de M. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA
GENÈVE, le 17 mai 2014 – « Être libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. »
Nelson Mandela nous rappelle ainsi que la dignité de chacun d'entre nous ne peut s'épanouir que si nous acceptons la liberté de tous.
Chaque individu doit pouvoir aimer la personne de son choix et exprimer son identité, et cette liberté doit être respectée. Les personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres et intersexuées (LGBTI) ont fait preuve d'un très grand courage et sont en train de provoquer une transformation sociale.
La criminalisation des comportements des personnes LGBTI met en danger des communautés entières. Elle maintient en effet des personnes qui ont besoin de services de prévention et de traitement à l'écart de programmes d'une importance vitale.
Il est scandaleux qu'en 2014, alors que nous disposons des outils qui permettront de vaincre le sida, nous soyons encore en train de nous battre contre les préjugés, la stigmatisation et la discrimination active dans 78 pays à travers le monde.
Et cela pas seulement auprès du citoyen ordinaire, mais aussi dans les tribunaux, les salles de classe et les établissements de soins.
La stigmatisation et la discrimination fondées sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre sont la cause de nouveaux cas d'infection par le VIH.
Nous ne pouvons être libres que si nous respectons la liberté de nos frères et sœurs LGBTI.
Marchons ensemble sur le chemin de la liberté.
En cette Journée internationale de lutte contre l'homophobie et la transphobie, j'appelle tout le monde à rejoindre ce mouvement de transformation pour contribuer à la réalisation de notre vision, à savoir, zéro nouvelle infection par le VIH, zéro discrimination et zéro décès lié au sida.
ONUSIDA
Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) guide et mobilise la communauté internationale en vue de concrétiser sa vision commune : « Zéro nouvelle infection à VIH. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida. » L’ONUSIDA conjugue les efforts de 11 institutions des Nations Unies – le HCR, l’UNICEF, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’UNODC, ONU Femmes, l’OIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Il collabore étroitement avec des partenaires mondiaux et nationaux pour que la riposte au sida donne les meilleurs résultats possibles. Pour en savoir plus, consultez le site unaids.org, et suivez nous sur Facebook et Twitter.


L'ONUSIDA a organisé une consultation politique et stratégique informelle à Genève les 15 et 16 mai.
Debrief
Consultation de l'ONUSIDA sur le VIH et les droits de l'homme des personnes LGBTI
16 mai 2014
16 mai 2014 16 mai 2014La capacité des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transsexuelles et intersexe (LGBTI) d'éviter qu'elles soient infectées par le VIH ou de vivre de manière satisfaisante avec le virus a récemment été menacée en raison du fait que certains pays ont augmenté la criminalisation de ces populations déjà largement stigmatisées. Pour s'attaquer à cette situation urgente et explorer plus en avant des moyens concrets, l'ONUSIDA a organisé une consultation politique et stratégique informelle à Genève les 15 et 16 mai.
De manière générale, les gays et autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes ont 13 fois plus de chance d'être infectés par le VIH et les personnes transsexuelles 19 fois plus. Par ailleurs, les résultats émanant de plusieurs projets de suivi montrent que là où il y avait criminalisation des populations LGBTI il y avait également une augmentation de la peur dans les communautés, plus de craintes que les professionnels de santé puissent les dénoncer, des cas toujours plus nombreux de gangs organisés menaçant et extorquant les personnes sur la base de leur orientation sexuelle et plus d'agressions physiques.
L'objet de la consultation était de développer des stratégies pour répondre aux différentes difficultés des droits de l'homme et de santé en relation avec le VIH auxquelles les personnes LGBTI étaient confrontées. Des interventions de gestion et de prévention de crise à court terme ont été explorées ainsi que des programmes et des politiques durables à long terme pour améliorer l'accès aux services de santé des communautés LGBTI.
Participants
Ce rassemblement international a réuni des chargés de programmes, des militants, des dirigeants religieux, des défenseurs des droits de l'homme, des donateurs et des représentants d'organisations des Nations Unies de pays et régions du monde entier, y compris des Caraïbes, d'Inde, du Kenya, du Nigéria, de la Fédération russe, de Suisse, d'Ouganda, des États-Unis d'Amérique et de Zambie.
Principaux résultats
- Les participants ont qualifié le statut social, légal, de santé et de sécurité des personnes LGBTI comme une crise mondiale qui exige des solutions mondiales tout en prenant en compte les possibilités nationales, culturelles et sociales ainsi que les difficultés.
- Les participants en appellent à l'ONUSIDA pour aider à lutter contre les tabous largement répandus et les fausses idées qui conduisent à des approches punitives et à la stigmatisation.
- Les participants ont également demandé à l'ONUSIDA de s'exprimer contre la discrimination dans les communautés et les services de santé qui est un obstacle majeur pour que les personnes aient accès aux services anti-VIH.
- Il y a une nécessité de construire de larges coalitions, tout particulièrement au niveau des pays, dans les groupes confessionnels, universitaires, les réseaux de femmes et autres défenseurs des droits de l'homme contre la marginalisation et l'exclusion en raison de la race, de l'ethnie, de la religion, etc.
- Il y a un besoin de liens et de plus de soutiens avec les institutions régionales, y compris la Commission africaine des droits de l'homme et des personnes ainsi que la Commission interaméricaine des droits de l'homme, travaillant sur les questions de santé et des droits LGBTI.
Quotes
« Identifié comme gay en Inde, une récente décision de la Cour suprême a criminalisé mon existence. Cela réduit à néant une riposte durable au VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes et les populations transgenre. »
« Nous travaillons contre une culture de la violence et d'inégalité profonde et difficile. »
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UNAIDS Deputy Executive Director Dr Luiz Loures speaking at the event.

« Le problème, ce ne sont pas seulement les lois punitives et discriminatoires, mais aussi le fait que ces lois exercent un impact sur les attitudes au sein de la société en général. Le rôle des communautés dans l'évolution des valeurs et la promotion de la justice pour tous est immense. » Dr Edward Greene, Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour le sida aux Caraïbes. Photo : ONUSIDA
Mettre à jour
Exclusion des personnes LGBT : coût économique et impact sur le développement
14 mars 2014
14 mars 2014 14 mars 2014De nouvelles données montrent que les effets de l'homophobie et de l'exclusion coûteraient des milliards de dollars aux économies. Lors d'une table ronde organisée par la Banque mondiale, les participants ont discuté des conclusions d'une nouvelle étude qui a élaboré et testé un modèle économique afin de mesurer le coût de l'exclusion des minorités sexuelles. Les intervenants ont également débattu des implications plus larges d'une nouvelle vague de lois punitives adoptées dans certains pays du monde.
L'étude montre qu'en Inde, où le comportement homosexuel est un crime et où aucune législation protectrice n'existe pour les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres (LGBT), le pays perdrait jusqu'à 1,7 % de son PIB sur un an en raison de l'homophobie et de l'exclusion des personnes LGBT. La perte de productivité de travail et de production en raison de la discrimination à l'emploi, ainsi que les années de vie perdues à cause d'un décès prématuré ou d'un handicap généreraient des coûts jusqu'à 31 milliards de dollars rien qu'en Inde. Ces estimations préliminaires ont été présentées par le Dr Lee Badgett de UMass Amherst, l'un des principaux instituts de recherche publics d'Amérique.
Les intervenants ont souligné la nécessité de disposer en permanence de données et de preuves solides de l'impact de l'exclusion sur le développement, ainsi que la nécessité constante d'une mobilisation de la communauté internationale pour protéger les groupes marginalisés et leur éviter d'être exclus du développement et de la santé.
Parmi les invités de marque et les intervenants se trouvaient le Dr Luiz Loures, Directeur exécutif adjoint de l'ONUSIDA, ainsi que Mme Tracy Robinson, membre et Première Vice-présidente de la Commission interaméricaine des Droits de l'Homme, Rapporteuse sur les droits des personnes LGBTI ; le Dr Amy Lind, Professeur en Études sur le genre et la sexualité des femmes à l'Université de Cincinnati ; M. Dennis van der Veur, Chef du secteur Coopération avec les institutions et les États membres de l’Union européenne à l’Agence des droits fondamentaux de l’UE, et le Dr Qing Wu, analyste économique chez Google. La discussion était animée par Lester Feder de Buzzfeed.
Quotes
« Les lois punitives affectent nos efforts pour mettre un terme à l'épidémie de sida et ont un impact sur les économies des pays. Des ripostes inclusives fondées sur les droits sont les marques de fabrique de la riposte au sida et offrent des plates-formes sur lesquelles s'appuyer. Il nous faut plus de preuves et de données pour convaincre les décideurs et la classe politique de la nécessité de traiter les questions relatives aux LGBT et à l'homophobie, afin de garantir la protection des droits humains et un accès équitable à la santé et au développement. »
« Le problème, ce ne sont pas seulement les lois punitives et discriminatoires, mais aussi le fait que ces lois exercent un impact sur les attitudes au sein de la société en général. Le rôle des communautés dans l'évolution des valeurs et la promotion de la justice pour tous est immense. »
« La protection des droits humains et l'émancipation des personnes sont essentielles pour renforcer les résultats économiques et le développement durable. L'étude sur le coût économique de l'homophobie et de l'exclusion des LGBT présentée aujourd'hui, et que nous avons soutenue, est un exemple manifeste de l'importance de s'intéresser aux implications économiques de l'homophobie et de l'exclusion afin de mieux savoir comment travailler sur la réduction de la pauvreté et le développement inclusif. »
« Chaque fois qu'une fille est déscolarisée au Pakistan, chaque fois qu'un homme contracte le VIH dans une relation sexuelle avec un autre homme et chaque fois que la communauté rom est diffamée, c'est la société entière qui en paie le lourd prix. L'exclusion des minorités sexuelles n'est pas seulement une tragédie humaine, c'est aussi une atteinte économique significative auto-administrée, et c'est pourquoi nous devons, à la Banque mondiale, entendre leurs voix. »
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Press Statement
L'ONUSIDA exprime sa profonde inquiétude à propos des conséquences d’un projet de loi ougandais sur les droits des homosexuels
18 février 2014 18 février 2014L'adoption de ce projet de loi controversé durcirait les peines prononcées à l'encontre des homosexuels ougandais
GENEVE, 17 février 2014 — L'ONUSIDA est profondément préoccupé par un projet de loi ougandais visant à durcir davantage les peines prononcées à l'encontre des homosexuels.
Le projet de loi controversé, adopté par le parlement en décembre 2013, prévoit une peine de prison de 14 ans en cas de première condamnation, et la condamnation à la perpétuité en cas de commission du délit d' « homosexualité aggravée ». La ratification du projet de loi aurait également de graves conséquences en matière de droits de l'Homme.
« L'Ouganda a été le premier pays africain à briser la conspiration du silence sur le SIDA et à donner la parole aux personnes les plus marginalisées, mais j'ai bien peur que ce projet de loi ne ramène l'Ouganda en arrière, lui faisant perdre son leadership dans la lutte contre le SIDA », a indiqué Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. « J'appelle vivement les autorités ougandaises à renoncer à ce projet de loi et à garantir les droits et la dignité de la population ougandaise ».
Ce projet de loi aurait également des conséquences en matière de santé publique. Les études montrent en effet que lorsque les homosexuels sont confrontés à la discrimination, notamment aux abus, à l'incarcération et à la persécution, ils sont moins enclins à se soumettre aux tests de dépistage du VIH ou à faire appel aux services de prévention et de traitement.
En 2012,1,5 millions de personnes vivant avec le VIH et 140 000 nouvelles infections au VIH ont été enregistrées en Ouganda. Dans l'ensemble, les homosexuels ont 13 fois plus de risque d'être infectés par le VIH que le reste de la population, d’où le besoin urgent d’assurer un accès sécurisé aux services de prévention et de traitement en matière de VIH pour tous et partout dans le monde.
L'ONUSIDA appelle le gouvernement ougandais, ainsi que tous les gouvernements du monde, à protéger les droits des homosexuels hommes et femmes, des bi-sexuels et des transgenres, en abrogeant les lois pénales qui condamnent les relations sexuelles consenties entre adultes du même sexe ; en appliquant des lois visant à protéger les personnes contre la violence et la discrimination ; en lançant des campagnes contre l'homophobie et la transphobie, et en garantissant l'accès aux services de santé, notamment aux services de prévention, de traitement, de soins et d’aide en matière de VIH.
ONUSIDA
Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) guide et mobilise la communauté internationale en vue de concrétiser sa vision commune : « Zéro nouvelle infection à VIH. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida. » L’ONUSIDA conjugue les efforts de 11 institutions des Nations Unies – le HCR, l’UNICEF, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’UNODC, ONU Femmes, l’OIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Il collabore étroitement avec des partenaires mondiaux et nationaux pour que la riposte au sida donne les meilleurs résultats possibles. Pour en savoir plus, consultez le site unaids.org, et suivez nous sur Facebook et Twitter.
Contact
ONUSIDA GenèveSophie Barton-Knott
tel. +41 79 514 6896 / +41 22 791 1697
bartonknotts@unaids.org
Press centre
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Parmi les participants : des experts de la Commission européenne et des institutions de l'Union européenne, ainsi que des représentants des populations les plus touchées, des prestataires de services, des organismes de recherche, des gouvernements et des Nations Unies.
Debrief
Changer la donne en Europe
28 janvier 2014
28 janvier 2014 28 janvier 2014En Europe, la prévalence du VIH augmente parmi les populations les plus exposées au risque, en particulier les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, et en Europe de l'Est chez les consommateurs de drogues et leurs partenaires sexuels.
Afin de trouver des moyens de tendre vers l'objectif zéro nouvelle infection à VIH, zéro discrimination et zéro décès dû au sida en Europe, l'ONUSIDA a organisé une consultation la semaine dernière dans les locaux de son siège à Genève, en Suisse.
Participants
Des experts de la Commission européenne et des institutions de l'Union européenne, ainsi que des représentants des populations les plus touchées, des prestataires de services, des organismes de recherche, des gouvernements et des Nations Unies ont participé à cette réunion.
Principaux messages
- Dans de nombreux pays européens, les informations stratégiques sur les populations les plus exposées restent limitées.
- La stigmatisation, la discrimination et la criminalisation de la transmission du VIH, ainsi que le manque de services et d'incitations, constituent souvent des obstacles à la recherche.
- Une nouvelle vague d'infections à VIH chez les HSH touche principalement les hommes dans les zones rurales, les petites villes et les régions de l'Est où une prévalence historiquement faible peut être associée à un accès élargi aux nouvelles technologies.
- En effet, les nouvelles technologies offrent à ces hommes davantage d'opportunités de rencontres avec des partenaires du même sexe. En outre, les professionnels du sexe travaillent de plus en plus en ligne et le marché des nouvelles drogues injectables de synthèse sur Internet évolue rapidement.
- Dans le même temps, les nouvelles technologies de l'information créent des opportunités de recherche, de travail de proximité et d'interaction, et nourrissent une nouvelle génération de militants et une mobilisation communautaire qui peuvent radicalement changer la donne dans la riposte au VIH en Europe.
Quotes
« La révolution d'Internet et des réseaux sociaux est en train de transformer radicalement le paysage de la riposte au VIH en Europe et au-delà. »
« Nous devons être aux côtés des populations les plus touchées par le VIH et défendre leurs droits, que ce soit à Athènes, à Abuja ou à Stockholm. Nous ne devons laisser personne sur le bord de la route. »