North America

Feature Story
Le PEPFAR dépasse ses objectifs de fourniture de traitements et de soins du VIH
13 janvier 2009
13 janvier 2009 13 janvier 2009
D’après le rapport annuel 2009 du Plan présidentiel d’urgence d’aide à la lutte contre le sida des Etats-Unis, le PEPFAR a dépassé ses objectifs à cinq ans de fourniture de traitements à deux millions de personnes et de soins à dix millions de personnes.
Le PEPFAR a soutenu la fourniture de traitements qui sauvent la vie à plus de 2,1 millions d’hommes, de femmes et d’enfants à travers le monde. Il a aussi participé à la fourniture de soins à plus de 10,1 millions de personnes affectées par le VIH, dont plus de 4 millions d’orphelins et d’enfants vulnérables.
Le 12 janvier, la Secrétaire d’Etat, Mme Condoleezza Rice, a prononcé le discours d’ouverture lors de la présentation du Rapport annuel 2009 du Plan présidentiel d’urgence d’aide à la lutte contre le sida des Etats-Unis (PEPFAR) au Congrès. Le rapport décrit les grandes lignes des succès considérables enregistrés par le PEPFAR dans la riposte au sida et souligne les réalisations des programmes engagés en partenariat avec des pays bénéficiaires à travers le monde.
En 2003, M. George W. Bush, Président des Etats-Unis, a lancé le Plan présidentiel d’urgence d’aide à la lutte contre le sida des Etats-Unis (PEPFAR) pour s’attaquer à l’épidémie mondiale de VIH. Ce plan représentait le plus important engagement jamais pris par un pays pour combattre une seule maladie. Par le biais du PEPFAR, le gouvernement des Etats-Unis a apporté $ 18,8 milliards pour financer la riposte au VIH et le Congrès américain a adopté un budget pouvant aller jusqu’à $ 48 milliards pour financer des activités de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme sur les cinq prochaines années.
Pendant l’exercice 2008, le PEPFAR a fourni $ 1,6 milliard pour appuyer des programmes de traitement du VIH, dans les pays ciblés par ce projet, et environ $ 712 millions pour souvenir des activités de prévention.
S’adressant à la presse, M. l’Ambassadeur Mark Dybul, Coordonnateur pour les Etats-Unis de la lutte mondiale contre le sida, a souligné que le renforcement des systèmes de santé constituait un autre succès du PEPFAR. « Les données disponibles donnent à penser que les interventions contre le VIH/sida renforcent en réalité les soins dans d’autres domaines et ont un effet d’entraînement ».
Right Hand Content
Reportages:
Un vote du Sénat reconduit le programme mondial d’aide à la lutte contre le sida du gouvernement (PEPFAR) (17 juillet 2008)
link
Centre de presse:
L’ONUSIDA se réjouit du vote du Sénat américain en faveur de la reconduction de son programme mondial d’aide à la lutte contre le sida (16 juillet 2008) (en anglais)
Déclaration sur le vote en faveur de la reconduction du PEPFAR par l’ensemble de la Chambre des Représentants des Etats-Unis (03 avril 2008) (en anglais)
L’ONUSIDA se réjouit de l’appel en faveur d’une augmentation à $ 30 milliards de l’aide à la riposte au sida (30 mai 2007) (en anglais)
Liens externes:
Plan présidentiel d’urgence d’aide à la lutte contre le sida des Etats-Unis (PEPFAR) (en anglais)
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Le bureau de l’ONUSIDA à Washington commémore le vingtième anniversaire de la Journée mondiale sida
01 décembre 2008
01 décembre 2008 01 décembre 2008Cette année, pour marquer la Journée mondiale sida, le bureau de l’ONUSIDA à Washington a organisé, avec les partenaires de l’ONUSIDA, les coparrainants et les organisations locales de la société civile, une visite d’une semaine pour des femmes vivant avec le VIH originaires d’Inde, du Swaziland et des Etats-Unis.
Les heureuses élues sont Beri Hull, originaire des Etats-Unis et représentante, pour l’Amérique du nord, de la Communauté internationale des femmes vivant avec le VIH/sida ; Jahnabi Goswami, originaire d’Inde et Secrétaire générale d’INP+, Réseau national des personnes vivant avec le VIH ; et Thembi Nkambule, originaire du Swaziland et Coordinatrice nationale du Réseau des femmes vivant avec le VIH au Swaziland. Toutes trois mènent les efforts entrepris en matière d’éducation et de conseil dans leur pays.
Ces trois femmes espèrent que, en racontant leurs histoires empreintes de courage, de détermination et de dévouement au service de leurs communautés, elles inspireront les dirigeants et en feront des champions en matière de questions liées aux femmes et au sida.
La visite a commencé hier à Washington. Aujourd’hui, un déjeuner a été organisé pour marquer le vingtième anniversaire de la Journée mondiale sida au Club national de la presse (National Press Club). Michele Moloney-Kitts, Assistant Coordinator, Office of the U.S. Global AIDS Coordinator et Tim Wirth, ancien sénateur des Etats-Unis et Président de la Fondation des Nations Unies et de la Campagne pour un monde meilleur, participeront aussi à cet événement.
Le 3 décembre, l’Alliance mondiale contre le sida (Global AIDS Alliance), l’ONUSIDA et les autres participants se rendront à Rock Hill (Caroline du Sud) pour une tournée de sensibilisation au VIH de deux jours conçue pour faire connaître au public le rôle de l’ONUSIDA et de chaque participant à la riposte mondiale au sida.
Cette visite sera l’occasion de mettre l’accent sur la nécessité d’un leadership et de solutions au sida efficaces et adaptés à des épidémies spécifiques, notamment en ce qui concerne l’aide aux femmes et aux filles.
Le bureau de l’ONUSIDA à Washington commémore le
Informations utiles:
Bureaux de liaison de l’ONUSIDA
Femmes et filles
Reportages:
Soyez prêts pour la journée mondiale sida 2008 (27 octobre 2008)

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“Art et sida” reçoit des sculptures de Keith Haring
27 novembre 2008
27 novembre 2008 27 novembre 2008
Ahead of World AIDS Day 2008, two sculptures by Keith Haring have come to UNAIDS to join the “Art for AIDS” collection. Credit: UNAIDS
En prologue à la Journée mondiale sida 2008, deux sculptures de Keith Haring sont venues s’ajouter à la collection ‘Art et sida’ de l’ONUSIDA. L’œuvre symbolique et poignante de cet artiste a contribué à la sensibilisation au sida dans le monde.
Le siège de l’ONUSIDA à Genève a reçu mercredi deux nouvelles œuvres pour sa collection ‘Art et sida’. Il s’agit de deux sculptures de l’artiste et activiste célèbre Keith Haring, qui ont été prêtées à l’ONUSIDA par la Fondation Keith Haring.
Au cours de sa trop brève existence (1958-1990), Keith Haring a produit des œuvres à un rythme phénoménal pour toucher, partout dans le monde, un public qui transcende les différences d’appartenance ethnique, de nationalité, de genre, d’âge et d’orientation sexuelle. Il a utilisé ses symboles devenus iconiques—le chien qui aboie, le bébé radieux, le danseur et le cœur—pour encourager la réflexion et le dialogue autour de problèmes sociaux et politiques.
Les éléments humanistes de son œuvre lui ont permis de communiquer de manière pratiquement universelle. C’est pourquoi, les dessins de Haring ont été utilisés dans de nombreuses campagnes de sensibilisation sociale, dont la prévention du sida, l’alphabétisation, la cause des enfants avec l’UNICEF et la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud.

Haring enlisted his imagery during the last years of his life to generate activism and awareness about AIDS. Credit: UNAIDS
Haring a été diagnostiqué séropositif au VIH en 1988. En 1989, il a créé la Fondation qui porte son nom, avec pour mandat de fournir des fonds et des images aux organisations sida et aux programmes en faveur des enfants, et d’élargir l’audience de l’œuvre de Haring grâce à des expositions, des publications et l’utilisation autorisée de ses pièces. Au cours des dernières années de sa vie, Haring s’est appuyé sur ses œuvres pour parler de sa propre maladie et susciter activisme et intérêt en faveur de la lutte contre le sida.
Son art a toujours été le reflet de sa conscience sociale, mais dans ses dernières années, il a consacré un grand nombre de ses œuvres à sensibiliser le public aux questions entourant le VIH et les droits des homosexuels.
La Collection ‘Art et sida’ de l’ONUSIDA a pour but de reconnaître le rôle joué par l’art dans la riposte au sida. Les pièces de la collection ont été choisies pour encourager la réflexion et le dialogue autour de certains des problèmes les plus difficiles dans le domaine du sida. Axée dans un premier temps sur l’art africain contemporain, la collection s’est enrichie pour comprendre 60 œuvres de qualité muséale, grâce à la participation d’artistes, de collectionneurs et de donateurs du monde entier.
“Art et sida” reçoit des sculptures de Keith Hari
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03 novembre 2022
Popular and dedicated singer Samba Peuzzi calls for ending HIV infections among children

16 juin 2022
Commemorating World AIDS Day in the Central African Republic
06 décembre 2021

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M. Sidibe rappelle le rôle de la société civile dans les ripostes nationales au sida
16 octobre 2008
16 octobre 2008 16 octobre 2008
Le Directeur exécutif adjoint de l'ONUSIDA, Michel Sidibe s'est exprimé sur le rôle crucial de la société civile lors du "Rendez-vous de la coopération québécoise et canadienne dans la Francophonie" animé par l’Agence canadienne de développement international (ACDI)
Précédant le XIIe Sommet de la Francophonie, une importante réunion aura lieu à Québec du 15 au 17 octobre pour aborder le rôle de la société civile dans la coopération internationale au développement.
« Des partenariats durables », tel est le thème central du Rendez-vous de la coopération québécoise et canadienne dans la Francophonie animé par l’Agence canadienne de développement international (ACDI) ; cette réunion examinera le rôle du Québec et du Canada dans la coopération internationale dans les pays francophones.
Le 15 octobre, Michel Sidibe, Directeur exécutif adjoint de l’ONUSIDA a participé à un événement important. Il s’est exprimé sur le rôle crucial joué par la société civile dans les ripostes efficaces au sida en Afrique francophone et ailleurs, présentant des exemples des succès remportés par certains pays.
« Dans cette mobilisation mondiale suscitée par le sida, la société civile a indiscutablement été l’agent catalytique déterminant qui a souvent initié, souvent consolidé, toujours contribué des idées neuves et un souci permanent des droits de l’homme, combattu le virus et éperonné les organisations internationales et les coopérations bilatérales traditionnelles, » a déclaré M. Sidibe. « La société civile a toujours été présente dans toutes les grandes décisions de la lutte contre le sida, » a-t-il ajouté.
Décrivant l’importance vitale de la société civile dans la riposte au sida, à ce tournant de l’épidémie, il a souligné sa capacité à parler en voix multiples, à représenter des perspectives différentes, à mobiliser le leadership politique, à assurer que les ripostes au VIH adoptent une approche fondée sur les droits et à proposer directement aux communautés des messages de prévention susceptibles de sauver des vies.
On ne peut surestimer à quel point il est essentiel d’obtenir la contribution de la totalité de la société civile, y compris des personnes vivant avec le VIH. Un large éventail de compétences stratégiques et tactiques fait des organisations de la société civile les partenaires de premier ordre dans le processus de rédaction des Rapports nationaux d’activités et plus particulièrement, les organisations de la société civile sont bien placées pour fournir des informations quantitatives et qualitatives qui viendront s’ajouter aux données recueillies par les pouvoirs publics.
L’ONUSIDA dispose d’une série d’outils spécifiques susceptibles d’aider la société civile à produire un impact, notamment les Dispositifs d’appui techniques qui contribuent à résoudre les problèmes rencontrés dans la planification stratégique, les communications, la mobilisation des ressources et le contrôle, le suivi et l’évaluation. Les capacités nationales en sont renforcées et les pays bénéficient d’un appui aux fins d’une riposte au sida contrôlée et dirigée par le pays et répondant à la demande.

"Des partenariats durables", thème central du Rendez-vou de la coopération québécoise et canadienne dans la Francophonie.
Parmi les autres orateurs à cette session, on peut noter Mme Djakagbè Kaba, Présidente du Réseau guinéen d’économie sociale solidaire, le RÉGESS (Guinée); Mme Danièle Magloire, Coordonnatrice du Bureau de Droits et Démocratie (Haïti) et M. Bakary Doumbia, Directeur général de KILABO (Mali).
XIIe Sommet de la Francophonie
Les Gouvernements du Canada et du Québec, en partenariat avec le Gouvernement du Nouveau-Brunswick, accueillent cette année le Sommet de la Francophonie qui aura lieu à Québec du 17 au 19 octobre et qui regroupera les délégations de quelque 69 Etats et Gouvernements. M. Sidibe participera à l’ouverture du Sommet.
Le Sommet réunit les chefs d’Etat et de Gouvernement des pays membres de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), institution fondée sur une langue (le français) et des valeurs partagées. Elle comprend 55 Etats et gouvernements membres et 13 observateurs, totalisant une population de 803,4 millions de personnes et représente près d’un tiers de tous les Etats Membres de l’ONU. Elle apporte à ses Etats membres un appui dans l’élaboration de leurs politiques et mène des actions politiques de coopération multilatérale.
Epidémie de VIH
Si les épidémies d’Afrique subsaharienne varient considérablement d’un pays à un autre, pour ce qui est de leur importance comme de leur portée, la région abrite 67% des personnes vivant avec le VIH dans le monde et presque 90% de tous les enfants vivant avec le VIH. Sur un plan positif, il faut noter que la plupart des épidémies de VIH relativement limitées d’Afrique de l’Ouest sont stables ou en déclin—comme c’est le cas par exemple au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et au Mali. En Côte d’Ivoire, la prévalence du VIH parmi les femmes enceintes des zones rurales a passé de 10% en 2001 à 6,9% en 2005.
En 2007, cependant, la prévalence nationale du VIH chez les adultes était supérieure à 5% dans sept pays d’Afrique centrale et orientale, y compris le Cameroun francophone, la République centrafricaine et le Gabon. Plus d’un tiers (35%) des professionnelles du sexe interrogées en 2006 au Mali vivaient avec le VIH et des niveaux d’infection supérieurs à 20% ont été relevés parmi les professionnelles du sexe au Sénégal et au Burkina Faso.
M. Sidibe rappelle le rôle de la société civile d
Reportages:
Renforcer la riposte au sida dans les pays lusophones (28 juillet 2008)
Multimédias:
Liens externes:
Organisation internationale de la Francophonie
XIIe Sommet de la Francophonie
Agence canadienne de développement international (ACDI)
Rendez-vous de la coopération
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Un évêque lave les pieds de femmes séropositives – en symbole de la main tendue par la communauté religieuse aux personnes vivant avec le VIH
03 août 2008
03 août 2008 03 août 2008
Le Révérend Mark Hanson, Evêque qui préside l’Eglise luthérienne évangélique d’Amérique et président de la Fédération luthérienne mondiale, lave les pieds de deux femmes séropositives pendant la réunion plénière du 1 août de la pré-conférence œcuménique qui se déroule du 31 juillet au 2 août à Mexico, à la veille de la Conférence internationale sur le sida. Mme Herlyn Marja Uiras, du mouvement ‘Churches United Against HIV and AIDS in Southern and Eastern Africa’ est à droite. Mme Sophie Dilmitis, troisième à partir de la droite, est coordonnatrice VIH/sida pour l’association World YWCA. Mme Nyaradzai Gumbonzvanda, Secrétaire générale de l’association World YWCA, est placée entre les deux femmes.
Photo: Ecumenical Advocacy Alliance
Effectuant un acte « d’humilité et de repentir », le chef d’une église d’envergure mondiale a débuté sa présentation lors d’une conférence œcuménique internationale sur le sida en lavant les pieds de deux femmes vivant avec le VIH.
Le Révérend Mark S. Hanson, Evêque qui préside l’Eglise évangélique luthérienne d’Amérique (ELCA), Chicago, et président de la Fédération luthérienne mondiale, Genève, a lavé les pieds de Mme Herlyn Marja Uiras, du mouvement ‘Churches United Against HIV and AIDS in Southern and Eastern Africa’, et de Mme Sophie Dilmitis, de l’association ‘World YWCA’, Genève.
Le Révérend Hanson a participé à une réunion plénière traitant des questions de stigmatisation et de discrimination à l’encontre des personnes vivant avec le VIH. Il a indiqué que laver les pieds de ces femmes était la seule manière dont il pouvait débuter son intervention de façon totalement intègre.
« Je suis absolument convaincu que nous, en tant que chefs religieux et membres de la communauté religieuse, qui avons si souvent évité les séropositifs et fait honte aux personnes vivant avec le VIH et luttant contre le sida, … devons d’abord commencer par nous livrer à des actes de repentir. Sans actes publics de repentir, je crains que nos paroles ne soient pas crédibles » a-t-il déclaré.
Après cet acte de repentir, une délégation de chefs religieux de la pré-conférence œcuménique s’est rendue au Sommet des personnes vivant avec le VIH ‘Living 2008’ pour partager cela avec les délégués. Les chefs religieux ont été chaleureusement accueillis puis ont participé à la réception de clôture de la conférence. Des délégués de la conférence ‘Living 2008’ ont adressé un message aux leaders confessionnels invités à la réunion plénière de clôture par l’intermédiaire des membre de l’INERELA+, Réseau international des chefs religieux vivant avec ou personnellement affectés par le VIH et le sida :
“Notre plus cher désir est simplement d’être acceptés plutôt que tolérés
acceptés en tant que personnes vivant avec le VIH
acceptés en tant qu’hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes
acceptés en tant que consommateurs de drogues
acceptés en tant que personnes désireuses d’avoir une famille et capables d’être des parents responsables
acceptés pour qui nous sommes ».

La pré-conférence œcuménique de trois jours a eu lieu sur le thème ‘Mettons notre foi en action, maintenant !’ ("Faith in Action Now!") à Mexico du 31 juillet au 2 août 2008. Près de 500 participants venus du monde entier ont réfléchi aux problèmes que le VIH et l’épidémie de sida posent aux personnes qui ont la foi, évalué les mesures prises et planifié des stratégies nécessaires pour mettre en œuvre une riposte chrétienne au VIH et au sida.
Mme Pauline Muchina, Conseillère principale en matière de partenariats à l’ONUSIDA, a fait plusieurs présentations et Mme Sally Smith, Conseillère en matière de partenariats à l’ONUSIDA, a dirigé un séminaire destiné aux organisations à assise confessionnelle en collaboration avec l’Alliance Œcuménique (Ecumenical Advocacy Alliance) pour engager le dialogue sur la stratégie récemment élaborée par l’ONUSIDA sur la religion et les organisations à assise confessionnelle.
La pré-conférence œcuménique est l’un des nombreux événements liés à la foi organisés avant et pendant la Conférence internationale sur le sida qui se déroule cette année à Mexico.
Le 2 août, une célébration a eu lieu le soir pour marquer le cinquième anniversaire des actions de plaidoyer engagées en Afrique par l’ANERELA+, Réseau africain des Chefs religieux vivant avec ou personnellement affectés par le VIH et le sida, et pour marquer le lancement officiel de l’INERELA+. Le réseau s’appuie sur la puissance de la religion pour promouvoir les droits de la personne et un changement social positif. Son objectif est d’être un mouvement mondial capable de faire disparaître le silence qui entoure le VIH, la stigmatisation et la discrimination, et de plaider pour une prévention et des traitements basés sur du concret pour tous.
Le Sommet inaugural des Chefs religieux vivant avec le VIH débute le 3 août. Il fournira un espace aux chefs religieux vivant avec le virus pour discuter de leurs priorités et de leurs projets futurs pour la tenue d’une Réunion de haut niveau des chefs religieux. Le sommet sera axé sur trois thèmes : vaincre la stigmatisation et la discrimination, vivre de manière positive avec le VIH, et, mobiliser et autonomiser les communautés confessionnelles et les autres chefs religieux. L’INERELA+ réunira environ cinquante chefs religieux qui vivent avec le VIH et viennent d’un large éventail de traditions confessionnelles et de pays.
Un évêque lave les pieds de femmes séropositives
Reportages :
Sommet des personnes vivant avec le VIH 2008 (31 juillet 2008)
Multimédias :
Visionner la vidéo (en anglais)
Liens externes :
Pré-conférence œcuménique 2008 : Mettons notre foi en action, maintenant ! (en anglais)
ANERELA+ (Réseau africain des Chefs religieux vivant avec ou personnellement affectés par le VIH et le sida) (en anglais)

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Réunion de hauts responsables à la Maison Blanche à l’occasion de la signature d’une loi historique
01 août 2008
01 août 2008 01 août 2008
Le Président George W. Bush est accompagné par Mme Annette Lantos (à droite) et de divers invités, le mercredi 30 juillet 2008 dans la célèbre ‘East Room’ de la Maison Blanche, lors de la signature du projet de loi HR 5501, ‘Loi de reconduction du Plan mondial des Etats-Unis contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme Tom Lantos et Henry J. Hyde de 2008’.
Photo : Maison Blanche par Joyce N. Boghosian.
Le 30 juillet 2008, M. George W. Bush, Président des Etats-Unis, a signé la ‘Loi de reconduction du Plan mondial des Etats-Unis contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme Tom Lantos et Henry J. Hyde de 2008’. Cette loi remplace et prolonge la loi existante de cinq ans et multiplie par trois ses ressources à US$ 48 milliards.
Le Président Bush a été rejoint par un certain nombre d’invités à la Maison Blanche pour cet événement historique. Des hauts responsables de la Chambre des Représentants et du Sénat des Etats-Unis étaient présents, ainsi que des membres du Congrès, des personnels de l’administration et des membres des familles de Tom Lantos et Henry J. Hyde, deux hommes politiques dont la loi honore la mémoire.
Le Président Bush a félicité le Dr Peter Piot, Directeur exécutif de l’ONUSIDA, et l’a remercié, ainsi que M. Rajat Gupta, Président du Conseil du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, pour leur présence.

(de gauche à droite) Le Dr Peter Piot, Directeur exécutif de l’ONUSIDA, et Mme Michele Moloney-Kitts, Coordonnatrice adjointe de la lutte mondiale contre le sida au Département d’Etat, à la Maison Blanche le jour où le Président des Etats-Unis, M. George W. Bush, a signé la ‘Loi de reconduction du Plan mondial des Etats-Unis contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme Tom Lantos et Henry J. Hyde de 2008’. 30 juillet 2008
Le Dr Peter Piot a félicité le Président et le Congrès des Etats-Unis pour leur leadership : « La générosité du gouvernement américain a contribué à transformer réellement la riposte mondiale au sida et le cours de l’épidémie. Elle nous a permis à tous de faire un bond en avant prodigieux et de qualité ».
Le Président Bush a reconnu que le sida constitue une crise à long terme qui nécessitera des ressources et des engagements significatifs pendant plusieurs décennies : « Mettre le VIH/sida en échec une bonne fois pour toutes requerra un investissement sans précédent sur plusieurs générations. Mais c’est l’investissement le plus payant qui soit en ceci qu’il permet de sauver des vies ».
Le Président Bush avait initialement présenté le Plan présidentiel d’urgence d’aide à la lutte contre le sida (PEPFAR) lors de son discours sur l’Etat de l’Union en 2003, et une loi prévoyant de financer le plan à hauteur de US$ 15 milliards avait été votée la même année.
Le Président a été rejoint à l’occasion de la signature de cette loi de reconduction par deux personnes qui bénéficient directement du PEPFAR. Mme Agnes Nyamayarwo, d’origine ougandaise, qui se déplace maintenant beaucoup pour éduquer les personnes sur le VIH, et M. Mohamad Kalyesubula, qui travaille dans un dispensaire qui prend en charge des personnes vivant avec le VIH.
Les chiffres les plus récents révèlent qu’après des décennies d’augmentation de la mortalité, le nombre annuel de décès liés au sida a diminué au niveau mondial au cours des deux dernières années, notamment grâce à un accès plus large aux traitements du VIH.
Réunion de hauts responsables à la Maison Blanche
Centre de presse :
Déclaration du Dr Piot sur la signature de la ‘Loi de reconduction du Plan mondial des Etats-Unis contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme Tom Lantos et Henry J. Hyde de 2008’ (30 juillet 2008) (pdf, 24,2 Kb)
L’ONUSIDA se félicite de l’action du Sénat américain concernant la reconduction du programme mondial de lutte contre le sida (16 July 2008) (pdf, 30,0 Kb)
Liens externes :
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Partnering to get back on track to end AIDS by 2030

24 septembre 2021

Feature Story
Un vote du Sénat reconduit le programme mondial d’aide à la lutte contre le sida du gouvernement (PEPFAR)
17 juillet 2008
17 juillet 2008 17 juillet 2008
Photo: Plan présidentiel d'urgence d'aide
à la lutte contre le sida (PEPFAR/Plan
d'urgence)
Le Sénat américain a voté une loi autorisant le financement d’une aide de US$ 48 milliards pour lutter contre le sida, la tuberculose et le paludisme sur les cinq prochaines années. Cette loi remplacera et multipliera par trois le montant prévu par la loi actuelle (aide de US$ 15 milliards) votée par le Congrès en 2003 et arrivant à échéance à la fin septembre.
M. George W. Bush, Président des Etats-Unis d’Amérique, a annoncé un Plan présidentiel d’urgence d’aide à la lutte contre le sida (PEPFAR/Plan d’urgence) lors d’un discours sur l’Etat de l’Union en 2003. Celui-ci représentait alors l’engagement le plus important jamais pris par un pays en faveur d’une initiative internationale pour la santé consacrée à une seule maladie.
Le PEPFAR apporte une aide à 15 pays en Afrique subsaharienne, en Asie et dans les Caraïbes.
Lire la déclaration de l’ONUSIDA (en anglais)
Un vote du Sénat reconduit le programme mondial d
Centre de presse:
L’ONUSIDA se réjouit du vote du Sénat américain en faveur de la reconduction de son programme mondial d’aide à la lutte contre le sida (16 juillet 2008) (en anglais)
Déclaration sur le vote en faveur de la reconduction du PEPFAR par l’ensemble de la Chambre des Représentants des Etats-Unis (3 avril 2008) (en anglais)
L’ONUSIDA se réjouit de l’appel en faveur d’une augmentation à $ 30 milliards de l’aide à la riposte au sida (30 mai 2007) (en anglais)
Liens externes:
Plan présidentiel d’urgence d’aide à la lutte contre le sida des Etats-Unis (PEPFAR) (en anglais)
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Partnering to get back on track to end AIDS by 2030

24 septembre 2021

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Le sida au programme du Festival du film de Jackson Hole
06 juin 2008
06 juin 2008 06 juin 2008
Le Festival annuel du film de Jackson
Hole débute le 6 juin dans le Wyoming,
Etats-Unis d’Amérique.
Ce festival de premier plan du cinéma indépendant a toujours été l’occasion de créer une plate-forme pour insuffler idées et changement au niveau mondial. A cet égard et pour son cinquième anniversaire, il a invité des hauts responsables des Nations Unies pour débattre avec des personnalités des médias et de l’industrie du cinéma de la manière d’engager la communauté internationale sur des questions oubliées.
Outre la projection de 100 films et documentaires indépendants, le Festival accueillera le premier sommet Global Insight en partenariat avec les Nations Unies. Le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, inaugurera l’événement qui aura lieu samedi 7 juin 2008 et sera ouvert au public.
L’objectif de cette initiative est de permettre un dialogue sur des questions mondiales essentielles. Les organisateurs du Festival espèrent que le sommet Global Insight sera un forum d’échange important entre les hauts responsables des Nations Unies et des auteurs, des producteurs et des réalisateurs de cinéma et de télévision.
Les enfants et le VIH
Mme Deborah Landey, Directrice exécutive adjointe de l’ONUSIDA, animera une table ronde sur le thème ‘les enfants et le VIH’.
Les chiffres sont peu réjouissants. La moitié de l’ensemble des nouvelles infections à VIH à travers le monde touche des jeunes de 15 à 24 ans. De très nombreux jeunes sont sexuellement actifs dès l’adolescence, ne sont pas monogames et n’utilisent pas régulièrement des préservatifs. Les jeunes ne sont peut-être pas toujours en mesure de pouvoir négocier des rapports sexuels à moindre risque et peuvent, en outre, consommer de l’alcool et des drogues (y compris des drogues injectables), ce qui les expose davantage à l’infection à VIH.
Les médias grand public ont un rôle important à jouer pour promouvoir une plus grande sensibilisation au VIH et une meilleure connaissance de celui-ci, ainsi que pour communiquer sur la prévention.
Beaucoup d’autres personnes sont directement affectées par le sida. Plus de 15 millions d’enfants de moins de 18 ans ont perdu l’un de leurs parents (ou les deux) du fait de cette maladie et un nombre incalculable d’autres enfants deviennent responsables de la prise en charge de leurs frères et sœurs et d’autres membres de la famille lorsque les parents sont affaiblis du fait de leur mauvaise santé. En conséquence, les enfants deviennent plus vulnérables à la pauvreté, à l’absence de domicile fixe et à la déscolarisation.
En 2007, 2,1 millions d’enfants de moins de 15 ans vivaient avec le VIH à travers le monde ; 420 000 avaient été nouvellement infectés et 290 000 sont décédés à cause de la maladie. La plupart de ces enfants ont été contaminés par le virus pendant la grossesse, l’accouchement ou l’allaitement au sein. Salman Ahmad, célèbre chanteur pakistanais et représentant spécial de l’ONUSIDA, participera aussi à l’événement et expliquera comment il s’attaque – par le biais de sa musique et de ses spectacles – à la discrimination à l’encontre des personnes vivant avec ou affectées par le VIH. Il est essentiel de lutter contre la stigmatisation et la discrimination à l’encontre des jeunes séropositifs au VIH pour leur garantir la meilleure intégration et la plus forte participation possibles à la société.
Mme Ann Veneman, Directrice exécutive de l’UNICEF, animera une table ronde sur le thème ‘les enfants et les conflits armés’
Le Sommet sera complété par une sélection des films qui montrent le pouvoir dont les médias disposent pour lutter contre les problèmes mondiaux. A l’issue d’un processus de sélection faisant appel à un jury, le Prix Global Insight sera décerné au film illustrant le mieux comment le cinéma peut servir à attirer l’attention sur un problème mondial important.
Le sida au programme du Festival du film de Jacks
Liens externes:
Festival du film de Jackson Hole (en anglais)
Blog officiel du Festival du film de Jackson Hole (en anglais)
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Vue d’ensemble de la Conférence 2008 sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI)
18 février 2008
18 février 2008 18 février 2008La 15e Conférence sur les rétrovirus et les
infections opportunistes s’est tenue à
Boston du 4 au 6 février 2008.
Photo: CROI.
La Conférence annuelle sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI) a débuté en 1994 en tant que modeste réunion de scientifiques étudiant le VIH et de cliniciens traitant les personnes infectées par le VIH. Aujourd’hui, c’est l’une des rencontres annuelles les plus importantes sur le VIH, qui offre un forum aux scientifiques de base, investigateurs cliniques et chercheurs dans le domaine de la santé mondiale dont l’objectif est de présenter, de discuter et de passer en revue leurs investigations en matière d’épidémiologie et de biologie des rétrovirus humains et des maladies qu’ils provoquent.
La 15e CROI s’est clôturée le 6 février à Boston, et si les résultats des essais annoncés étaient peu encourageants, de nombreux thèmes importants ont été abordés. L’absence d’une avancée scientifique dans le domaine du développement de vaccins contre le VIH souligne la nécessité d’intensifier les stratégies existantes de prévention et de traitement.
Essai lié au VHS-2 – Aucune réduction du risque n’a été observée
Des résultats décevants ont été annoncés à la suite d’essais menés pour voir si le traitement courant contre le virus qui provoque l’herpès chez l’être humain, le virus de l’herpès simplex de type 2 (VHS-2), pourrait diminuer le risque de transmission du VIH. On a demandé à des individus séronégatifs au VIH infectés par le VHS-2 de prendre un traitement contre les poussées d’herpès. Toutefois, les résultats des essais n’ont montré aucune différence des taux d’infection à VIH entre les individus qui avaient pris les médicaments et ceux qui ne les avaient pas pris.
Les données scientifiques indiquent un lien entre l’infection à VHS-2 et la prédisposition à contracter l’infection à VIH, et d’autres essais en cours étudient différents aspects de ce lien. Les chercheurs font donc preuve d’un espoir prudent à propos de cette piste de recherche.
Circoncision masculine
Des données publiées récemment émanant des études sur la circoncision masculine menées en Ouganda qui ont été interrompues en décembre 2006 ont été présentées par une chercheuse, Maria Wawer. Un essai a étudié si la circoncision chez un homme séropositif au VIH diminuait le risque de transmission du VIH à sa partenaire féminine séronégative. Les résultats ont fait état d’une tendance à l’accroissement de la transmission du VIH de l’homme à ses partenaires féminines. Cette tendance était plus nette, bien que toujours non statistiquement significative, lorsque les hommes reprenaient une activité sexuelle avant la cicatrisation complète de leur plaie.
Ces données ne sont pas nouvelles, mais leur présentation lors de la CROI a donné l’occasion d’en débattre et d’analyser leurs implications. Les défenseurs ont souligné la nécessité pour tous les programmes de circoncision masculine de prendre en compte directement la vulnérabilité accrue à l’infection du fait des rapports sexuels avec un homme séropositif au VIH récemment circoncis.
Le Dr Catherine Hankins, Conseillère scientifique principale à l’ONUSIDA, a déclaré : « Cela souligne l’importance de considérer la circoncision masculine dans le cadre d’un ensemble complet de mesures de prévention comprenant le conseil destiné aux couples et les recommandations post-chirurgicales impliquant les deux partenaires. Les couples doivent envisager un engagement mutuel en faveur de l’abstinence jusqu’à cicatrisation complète de la plaie. »
Les directives de l’ONUSIDA recommandent que tous les hommes subissant une circoncision devraient recevoir des informations claires et un soutien afin qu’ils s’abstiennent de rapports sexuels jusqu’à ce que la cicatrisation de la plaie soit certifiée, ce qui peut prendre normalement jusqu’à six semaines, pour éviter d’accroître le risque de contracter ou de transmettre le VIH.
Le plus important, c’est que les individus doivent comprendre que la circoncision masculine ne confère pas une protection complète contre l’infection à VIH et qu’elle ne doit pas remplacer d’autres stratégies de prévention telles que l’usage correct et régulier du préservatif masculin et féminin, la diminution du nombre de partenaires sexuels, le fait d’éviter la pénétration, et le traitement des maladies sexuellement transmissibles.
Vaccins
En septembre dernier, le candidat vaccin contre le VIH de Merck à base d’adénovirus a été un échec décevant. Le consensus émanant des experts lors de la CROI est qu’il était important que les scientifiques reprennent leurs travaux de base pour mieux comprendre l’action du virus et les réponses du système immunitaire. On a appelé à un investissement accru dans la recherche scientifique de base et à mettre moins d’accent sur les essais cliniques coûteux, bien que les deux soient évidemment nécessaires.
Il est de plus en plus accepté que la quête d’un hypothétique vaccin contre le VIH va se poursuivre pendant un certain temps. Cela souligne la nécessité d’intensifier les stratégies existantes de prévention et de traitement ainsi que l’importance d’améliorer l’accès des individus à l’information en matière de santé sexuelle, l’accès aux services de test VIH et de conseil et aux préservatifs masculins et féminins.
D’autres thèmes intéressants discutés lors de la CROI comprenaient notamment un meilleur dépistage de la tuberculose, la garantie d’une représentation satisfaisante des femmes dans les essais liés au VIH, le vieillissement et le sida, ainsi que la prise en charge des enfants et des adolescents affectés.
Vue d’ensemble de la Conférence 2008 sur les rétr
Liens externes:
Site web officiel de la CROI 2008 (en anglais)
Centre de presse:
Communiqué de presse de l’OMS et de l’ONUSIDA sur la circoncision masculine pour la prévention du VIH (28 mars 2007) (pdf, 38,8 Kb) (en anglais)
Reportages:
Des experts se réunissent au sujet des femmes et des essais cliniques liés au VIH (7 décembre 2007)
Des experts internationaux se penchent sur la circoncision masculine(7 mars 2007)
Publications:
La circoncision masculine en toute sécurité, volontaire et informée et les programmes complets de prévention du VIH. Orientations pour les décideurs sur les droits de l’homme, les considérations éthiques et juridiques(juin 2007) (pdf, 407 Kb) (en anglais)
Nouvelles données sur la circoncision et la prévention du VIH : conséquences sur les politiques et programmes (mars 2007)
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Feature Story
Des scientifiques de haut niveau se penchent sur les défis liés à la santé dans le monde à Boston
15 février 2008
15 février 2008 15 février 2008
De g. à d.: Timothy E. Wirth, Président,
Fondation des Nations Unies et Fonds pour
un monde meilleur, Jim Yong Kim, Ecole
de médecine de Harvard, David Baltimore
(modérateur), Président de l’AAAS, Institut
de technologie de Californie, et le
Directeur exécutif de l’ONUSIDA, le Dr
Peter Piot.
La réunion 2008 de l’Association américaine pour l’avancement de la science (AAAS) s’est tenue à Boston, Etats-Unis d’Amérique, du 14 au 18 février et a rassemblé des professionnels de la science et de la technologie en provenance de 56 pays pour discuter des dernières avancées et enjeux scientifiques.
Le Président de l’AAAS, le lauréat du Prix Nobel M. David Baltimore, a qualifié la manifestation de « plus grand et plus important rassemblement scientifique interdisciplinaire de l’année ». La conférence portait principalement sur le pouvoir de la science, de la technologie et de l’éducation à aider les segments les moins développés de la société mondiale, tout en améliorant la coopération parmi les pays industrialisés et en amorçant une transformation dirigée par la connaissance à travers les disciplines scientifiques.
Quelque 10 000 personnes ont assisté à la conférence, notamment des scientifiques, ingénieurs, enseignants et décideurs de renom ainsi que des membres des médias nationaux et internationaux.
La réunion avait pour thème global ‘La science et la technologie sur le plan mondial’ et le programme a mis en lumière des domaines de recherche, de nouveaux développements, et des activités transversales à l’appui de la science, de la technologie et de l’éducation dans le monde.

Le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, le Dr
Peter Piot, s’est exprimé lors de la plénière
d’un panel sur les défis liés à la santé dans
le monde.
Parmi les 150 symposiums et présentations, une table ronde a évoqué l’état de la santé publique en s’axant en particulier sur le sida et la tuberculose. Des présentations ont été faites sur la quête d’un vaccin mondial contre le sida et les enjeux de la lutte exhaustive contre le VIH en Afrique subsaharienne.
Le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, le Dr Peter Piot, s’est exprimé à l’occasion de la séance plénière d’un panel sur les défis mondiaux en matière de santé, lors de la journée de clôture de la conférence, avec Jim Young Kim de l’Ecole de santé publique de Harvard et Timothy Worth, Président de la Fondation des Nations Unies et du Fonds pour un monde meilleur. La séance était modérée par le Président de l’AAAS, David Baltimore.
Des scientifiques de haut niveau se penchent sur
Liens externes:
Site web de l’AAAS (en anglais)
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